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Forum - consultation_démocratique - Sujet n°33 |
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Réponse n°1 |
par suggesteur - visiteur le 30/11/2007 @ 19:47 | |
en Algérie, 35,5 % de participation ! - d'après Le Monde du 29 novembre 2007
Dixit...(page 6) : ... " Aux législatives du 17 mai le taux de participation officiel avait été de 35,5 % " .... Plus que jamais, les algériens se disent pesuadés que leur vote "ne sert à rien", que leurs élus n'ont "aucun pouvoir" sinon de "s'en mettre plein les poches"
... et on continue, ici aussi, dans l'Hexagone, à confondre "démocratie" et "technique archaïque du suffrage" ! ...
SUGGESTION ! : ajuster, à chaque élection, la durée du mandat et la paie des élus en proportion du pourcentage des inscrits ayant voté pour le candidat retenu !
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Réponse n°2 |
par exactGone - visiteur le 07/12/2007 @ 19:38 | |
Tous les "Gaullistes" connaissent-ils cette citation ?
Dixit...« Le marché, il a du bon. Il oblige les gens à se dégourdir, il donne une prime aux meilleurs. Mais en même temps, il fabrique des injustices, il installe des monopoles, il favorise les tricheurs. Alors, ne soyez pas aveugle en face du marché. Il ne faut pas imaginer qu'il réglera tout seul les problèmes. Le marché n'est pas au-dessus de la nation et de l'Etat. C'est l'Etat, c'est la nation qui doivent surplomber le marché »
citation de : De Gaulle .. à Alain Peyrefitte, le 12 décembre 1962 (d'après Jean-Noël Jeanneney, dans « Quand Google défie l'Europe ») ... en France, ne risque-t-on pas, à "Gauche" autant qu'à "Droite" de cumuler "démocratie réduite au suffrage" et "démocratie réduite au libéralissme" ( ou plutôt à un : "libéralisme à la Française" ) ? Pauvre Hexagone ! |
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Réponse n°3 |
par sapeurCrieAuFeu - visiteur le 09/12/2007 @ 23:23 | |
Dixit..." A lyon, Sarkozy bichonne les patrons de PME" [..] ... il a promis de les "libérer du carcan des 35 heures" avec le projet de loi sur le pouvoir d'achat, de réformer le droit du travail pour plus de flexibilité, de "dépénaliser" la vie des affaires ... Les petits patrons, visiblement comblés, ont applaudi à tou rompre.
Citation du "Libération" de 8, 9 décembre 2007 (page 13 - article de A. Géraud)
Quelle légitimité démocratique pour ce "programme" ? Tout cela faisait-il partie des promesses électorales par hasard ? SOYONS TRES VIGILENTS sur ce que recouvrent les mots : - "réformer le droit du travail" (pourquoi s'en entretenir, d'abord, et de façon privilégiée !, avec les "petits patrons" et non avec la majorité concernée des salariés ? !!! - "plus de flexibilité" : ce terme de "flexibilité" n'a, dans ce contexte, pas encore de définition dans un quelconque dictionnaire homologué : son emploi, sujet à tous les sous-entendus, malentendus ou quiproquos , n'est donc tout simplement pas honnête ... - dépénalisation de la vie des affaires" : là c'est la bouquet !! Un "Monseigneur" avait fait à ce sujet une remarque fort pertinente et très remarquée à la rentrée ... La réflexion des "Grands" n'aurait donc pas su évoluer là non plus ?? !!!!!!!
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Réponse n°4 |
par zelezar - visiteur le 13/12/2007 @ 01:03 | |
Incohérence d'une notion de "méritocratie" inconsciente de sa rusticité.
Aujourd'hui, on est "méritant" : - quand on possède ou amasse beaucoup d'argent (selon une culture communément appréciée comme classique en Amérique du Nord, par exemple ) - ou encore, à un niveau plus conceptuel et plus stratégique, quand on est en position d'inciter (et si possible de contraindre) les autres à "travailler".
Pour atteindre cette "méritocratie", tous les moyens sont bons. Passons sur le cas de ces Industriels qui n'hésitent pas à vouloir mettre en concurrence : -les salariés d'un pays qui se veut démocratique (notre Hexagone) ... avec, ailleurs, - une 'main d'oeuvre' assouplie par l'autoritarisme notoire de ses Autorités nationales. ...
C'est le principe de cette 'méritocratie', avancé comme valeur morale par ceux qui prétendent à une autorité légitime, qui nous intéresse ici.
Qui ne voit pas à quoi se résument nos consultations électorales ? Une fois élus - ou désignés (voire nommés) - nos Représentants ont maintenant tendance à faire la leçon au reste de la population : « - Nous avons su réussir à devenir vos chefs; - vous avez eu, vous aussi, les chances pour être à notre place; - mais vous n'y êtes pas ! - Donc, nous sommes plus méritants que vous ! - Il ne vous reste plus qu'à nous regarder vous mener, - et à nous suivre ! Prenez-en de la graine ! » Bien sûr, les as de la rhétorique ne s'expriment pas aussi crûment ! Mais, n'est-ce pas ce que leurs actes, ce que leur exercice du Pouvoir, nous laisse trop souvent entendre ?
Eh bien, osons prétendre ici que cette attitude de nos Représentants repose sur une faute de logique tout à fait fondamentale : Il ne faut pas oublier que c'est au nom d'un idéal de démocratie que les citoyens (votants ou pas !!) acceptent le résultat des urnes ! voir la suite : => sur cette page Web ... <= |
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Réponse n°5 |
par LibreCivil - visiteur le 21/12/2007 @ 13:01 | |
perte de légitimité du système institutionnel français ce qu'en dit http://reflets.typepad.com/servicecivil/...
Dixit...... "Nous pensons en effet que le système institutionnel français souffre d'une réelle perte de légitimité due à l'effritement de son modèle éducatif méritocratique, à la faiblesse institutionnelle de son Parlement, à l'absence d'indépendance d'une justice conçue non comme un pouvoir mais comme une autorité.
En France, le jeu entre les pouvoirs et les contre-pouvoirs n'est pas suffisant et l'une des matérialisations les plus concrètes de ce phénomène reste l'explosion des dépenses de fonctionnement de l'Etat, financées par emprunt, sur le dos des générations à venir ... "... -----------------------
Dixit...La seconde erreur que l'on peut déceler chez les tenants actuels d'un service civique obligatoire, c'est la croyance en la toute-puissance des associations comme assurant l'unité d'une société ou en justifiant l'organisation.
Où est passé l'Etat ? où sont les collectivités territoriales, les administrations ? Toutes participent aussi à l'exercice de missions d'intérêt général. ... l'essentiel semble être de faire en sorte que la jeunesse fasse du bénévolat forcé, une formule ... aussi maladroite que lourde d'effets. Combien de ressentiment fera-t-on naître au nom d'une générosité obligatoire ? combien de jeunes détournera-t-on des mouvements associatifs pour les y avoir forcés ? quel singulier manque d'imagination.
----------------------------
Dixit... En effet, le service civil pourrait être une modalité de paiement des études par les étudiants, à la condition que les campus ne restent pas dans l'état actuel : qu'ils soient rénovés, qu'il règne sur eux un souffle neuf, que les enseignants se chargent personnellement des élèves et ne les laissent pas s'effondrer seuls (près de la moitié des étudiants initialement inscrits en premier cycle sortent de l'université sans diplôme). Dans ces conditions, chaque étudiant pourrait assurer des cours de soutien scolaire auprès des plus jeunes, ou encore participer temporairement à des missions au sein de l'Etat ou des collectivités locales dans les domaines dans lesquels il a été formé. Des étudiants en informatique pourraient mettre en place des réseaux wifi dans des hôpitaux, des étudiants en droit pourraient être assisants de justice dans les Tribunaux, des étudiants en sociologie réaliser des audits organisationnels, des étudiants en histoire assurer des cours de soutien dans leur matière pour des jeunes collégiens, etc.
---------------------- voir aussi la 1ere réaction du blog cité :
Dixit..."Le Service civique obligatoire est tout à fait CONTRAIRE AUX DROITS DE L’HOMME ET DU CITOYEN, car il constitue un travail institué d’une façon autoritaire, obligatoire…"
Pourtant, qui peut prétendre que toutes les possibilités ont été imaginées et essayées ? C'est clair que si on ne cherche pas à renouveler ce "système institutionnel" ... on ne trouvera pas le moyen d'éviter ce qui ne fait que commencer aujourd'hui !
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Réponse n°6 |
par TrahiConEtGrincheux - visiteur le 05/02/2008 @ 10:32 | |
les Français, d'Europe et d'ailleurs, trahis par le traité de leurs sénateurs et députés ! Le Traité de Lisbonne a le même contenu (à quelques virgules près) que le traité établissant une Constitution pour l'Europe qui avait été refusé par les Français, le 29 mai 2005, par 54,68% de NON ! ( NON : 36,97 % des inscrits / OUI : 30,65% des inscrits abstentions : 30,63% des inscrits ) voir : http://www.french.xinhuanet.com/french/2008-02/05/content_572407.htm / résultats du référendun Et c'est VGE (qui en est le principal artisan), que l'on entend clamer à la radio que ce "Traité de Lisbonne" est, à 1 ou 2 détails près, le même que celui qu'il avait élaboré pour la "Constitution" européenne ! Le pauvre ! On lui fait du tort en n'adoptant pas les symboles qu'il avait prévus pour l'Europe !
Et des commentateurs, experts en démocratie, sont fiers de nous expliquer à nouveau que les 15 449 508 électeurs Français qui avaient voté NON ne sont en fait que des idiots qui n'avaient pas su comprendre les vertus (bien) cachées de ce traité !!!!
Mais au fait, quel est donc le sens caché de "Démocratie" pour le fondateur de l'UDF ?? Il faut croire que la majorité du peuple est imbécile : ceux qui savent se faire élire par des idiots, auraient donc la charge ingrate de leur imposer encore une bonne dose de pédagogie pour leur apprendre la nécessité d'un machiavélisme politique éclairé ...
Saluons donc l'enterrement en première classe de feu la Démocratie Française ... et l'avènement de la ploutocratie européenne !
Moralité ! : le vote ne sert qu'à repérer les imbéciles qui ne savent pas voter comme il faut ! Jouez à "qui veut gagner des millions" pour vous entrainer à savoir miser sur le plus fort aux prochaines élections !
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Réponse n°8 |
par CompleMenTaire - visiteur le 10/06/2008 @ 00:14 | |
L'humilité ne saurait dispenser d'affirmer la complémentarité de conscience que chacun peut proposer en regard d'un excès flagrant de vanité : devoir de résistance, dont les contours sont ô combien délicats à discerner ... mais ô combien impérieux !
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Réponse n°9 |
par JamaisContent - visiteur le 22/08/2008 @ 13:17 | |
Dixit..."L'érosion de la confiance dans les représentants est ainsi l'un des problèmes majeurs de notre temps. Mais, si les citoyens fréquentent moins les urnes, ils ne sont pas pour autant devenus passifs ... [Pierre Rosenvallon" s'attache à proposer] une histoire et une théorie du rôle structurant de la défiance dans les démocraties.
voir, aux éditions POINTS : "La contre-démocratie / La politique à l'âge de la défiance" , par Pierre Rosenvallon ________________ voir aussi : "Eloge de la démotivation", par Guillaume Paoli, aux éditions "lignes" :
Dixit..." Au moment même où le capital global semble être venu à bout de tous les obstacles extérieurs qui l'entravaient encore, c'est un facteur interne qui vient le menacer : la désaffection grandissante des ressources humaines ... C'est le ventre mou du colosse. ... Si le développement capitaliste a pour condition primordiale la motivation de ses agents, il est logique de déduire que pour les adversaires et les victimes de ce développement, la démotivation est une étape nécessaire"
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