Voir quelques extraits, par exemple, sur Babelio ... mais sans négliger les contributions concrètes promises aux soignants suspendus
« ... le plus grand consensus que j'aie vu dans l'histoire de la médecine moderne, je n'ai pas peur de le dire. Il a été la voie dissidente; c'est à dire qu'il a effectivement représenté des centaines de milliers de médecins et de scientifiques, alors que d'habitude on n'arrive jamais à se mettre d'accord sur un texte (Parce que, pour nous chaque mot est important) [...] ... je n'ai pas entendu les prix Nobel de l'autre côté. C'est assez intéressant. En fait c'est souvent en signal creux qu'on a de l'autre côté ... Nous avons fait un certain nombre de pétitions qui sont les plus grosses que l'histoire de la médecine moderne ait eu à vivre ! [... ] dans une Omerta totale qui fait que ... [...] force est de constater que, pour le coup, ces pétitions qui ont pignon sur rue parce qu'elles sont accessibles sur Internet ... ont réuni des chiffres record de médecins et de scientifiques. Et ça c'était sans précédent. Mais ce que nous avons vécu était sans précédent.[... ] ... le fait même qu'il n'y ait pas eu ces débats [... ]... et ça c'est un refus de débattre avec tous mes collègues, aussi, à l'étranger. [... ]... Je croyais que nous étions en démocratie. Je croyais que la démocratie n'avait pas peur des paroles, des voix dissonantes . Depuis quand la démocratie doit-elle craindre le débat ? [... ]
Comment se fait-il ... ? [... ] Et que l'essai clinique soit toujours en cours !!! »
---- "Complotisme, complotistes" ? : Pour ce qui est des intentions constatées chez ceux qui osent abuser de l'emploi de cet auto-infamant quolibet (sorte de jugement sans procès), notons cette remarque d'un Anonyme :
«Peu importe la personne qui essaie de te rabaisser, si elle essaie de te rabaisser, c’est pour que tu sois à son niveau.»
ou encore :
« Celui qui t’insulte n’insulte que l’idée qu’il a de toi, c’est‑à‑dire lui-même.» - Auguste Villiers de l’Isle-Adam
Et puis:
«Presque toujours, nos contradicteurs ne répondent pas aux objections que nous leur avons opposées, mais aux sottises qu’ils nous prêtent.» - François Mauriac
«Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent.» - Carl Gustav Jung
Comment la "guerre contre le virus" (à moins que ce ne soit une autre mouture d'opération spéciale ?) nous a habitués à l'ubuesque !
«Ainsi la première raison de la servitude volontaire, c’est l’habitude» E. de La Boëtie
(Nota bene, en 07:50 : "... parce que c'est très compliqué de pouvoir signaler des effets secondaires ...")
« Cultiver l'humilité revient à cultiver l'hypocrisie. L'humble n'a pas conscience de son humilité » Gandhi
Les Importants, qui voudraient ne pas humilier les dictatures, nous catéchisent qu'il n'y aurait "pas de liberté sans contraintes", et leurs sbires de renchérir par des injonctions à "ne pas victimiser"...
Mais serait-il honnête et citoyen de ne pas témoigner de dangers craints pour soi-même ou pour autrui ?
Quelle cohérence resterait-il à maintenir une Justice, s'il devenait condamnable de penser à y avoir recours ? (pour un vol, des violences, un viol, une extorsion d'argent, ou de consentement ...)
Une ficelle rhétorique des adeptes du "maître des horloge", qui est devenue grosse comme une corde de pendu : susciter la peur pour tenter de légitimer le décret de situations d'urgence, censées justifier d'autres décrets exceptionnels, sans cesse renouvelés ...
La peur suscitée peut être nuisible, jusqu'à un point létal. Où est l'humilité de ceux qui revendiquent leur propre volonté de propager une peur ? (sous le prétexte fallacieux de vouloir "convaincre" les "récalcitrants", "protestataires", ... dont ils viseraient "Le bien", malgré eux !
Terroriser ou séduire : il faut choisir.
L'actualité des crises successives nous révèle aujourd'hui les choix inconciliables qui opposent les habitants de la même planète.
Au-delà de cette question de simple équilibre mental, comment se permettre de ne pas envisager une éventuelle exploitation encore plus radicale de cette même ruse par un (futur) candidat procédurièrement légitimationné à la tête de notre beau pays ?! Plaidoirie pour le concept démocratique vrai - par muito le 14/03/2023 @ 21:17
Cet essai-brouillon devient manifestement nécessaire aujourd'hui pour la survie de notre planète ... en espérant qu'il puisse faire des émules.
Pour préciser le sujet, notons que, dans le terme "concept démocratique vrai", le "vrai" signifie "sincère et non dénaturé"; en remarquant qu'un vocable séculairement et mondialement plébiscité doit inciter à se baser sur son sens étymologique ...
«Le despotisme fait illégalement de grandes choses, la liberté ne se donne même pas la peine d'en faire légalement de très petites.» La Peau de chagrin - Honoré de Balzac
Argument premier : Quoi de plus indispensable à l'humanité que de s'efforcer de survivre ?
Serait-il cohérent (pour préserver une dignité humaine) d'accepter que certains puissent un jour décréter le moment où, pour une idée d'âme collective, au nom d'une idéologie ou d'une croyance particulière, l'instant d'un suicide/extermination collectif serait venu ?
Or, la prétention au solipsisme autoritaire (fausse d'un point de vue logicien), ne peut statistiquement conduire qu'à la malheureuse situation qui crève maintenant les yeux : même en supposant possible quelquefois la survenue de rares 'dictateurs éclairés', idéalement excellents, bienfaiteurs et visionnaires, qui auront permis l'établissement d'un Etat fort, défendu par des armes imparables, arrive fatalement le moment où un nouveau dictateur est beaucoup moins "éclairé" ... mais détient tout de même les rennes de l'arsenal nucléaire !
(Et peu importe, au final, que le dictateur soit, correctement ou pas, élu ...)
Pour illustrer les capacités d'une population à des adaptations pérennes, souvenons nous du propos d'une anthropologue qui avait remarqué ceci : l'intelligence d'une tribu de chimpanzés (autocratiques, soumis) est égale à celle du mâle dominant; l'intelligence d'une tribu de bonobos (démocratiques, altruistes) est égale à la somme de celles de ses individus. ...
“Savoir prononcer "non" et savoir vivre seul sont les deux seuls moyens de conserver sa liberté et son caractère.” Sébastien-Roch Nicolas de Chamfort
Et puis, comme le remarquait un manifestant : « Nos importants se prennent pour des locomotives, mais attendent que ce soient les wagons qui poussent ! »
...
Nota Bene : Le terrorisme nucléaire est doublement, et définitivement incompatible, avec le concept démocratique.
D'abord, terroriser est nocif : autant pour ceux qui se mettent eux-même dans l'inconfort moral d'une connivence, active ou passive, avec la décision d'infliger de la peur, que pour les "non égaux" visés par les menaces.
Paradoxe: « Ils ne nous pardonneront jamais le mal qu'ils nous ont fait.»
Ensuite: la doctrine nucléaire du MAD (Mutual Assured Destruction) appelle logiquement, pour rester cohérente, à la sélection de décideurs dotés de caractères (consciemment ou pas) imprévisibles et impénétrables, et au moins apparemment capables d'une réelle folie. Elus, ou pas, ces décideurs ne permettraient pas à cette doctrine de rester crédible s'ils semblaient ne pas risquer réellement de commettre un jour la "solution" fatale.
Si TOUS ces décideurs sont continuellement, dans leur for intérieur secret, solidement déterminés, sans JAMAIS l'avouer, à toujours s'interdire de causer la solution finale, alors, à la rigueur, cette doctrine MAD peut sembler tenable quelque temps encore ... mais si un seul est vraiment 'capable' de la folie ultime, alors cette doctrine revient, pour l'humanité entière, à s'en remettre à une "roulette russe" !
Corollaire : L'élection d'un décideur suprême dans un pays doté d'armes nucléaires est un non sens ! En effet : les électeurs y sont censés choisir quelqu'un qu'ils sont censés ne pas connaître ! (en ne connaissant pas un critère aussi déterminant que son risque de commettre une vraie folie !) Autocratiques ou pas, les décideurs des pays dotés ne peuvent avoir de certitude (relative) que sur le risque de leur propre passage à l'acte.
Par conséquent, lorsqu'un décideur de pays doté se permet de couvrir des actes de guerre, ou pire, par des "lignes rouges" de son cru officiellement et factuellement proclamées, interdisant les réactions de défense militaire conventionnelles par un prétexte de "défense" nucléaire, cela revient à utiliser factuellement la puissance nucléaire (réelle ou supposée, sûre, précise ... ou pas) de son pays. Ce qui constitue la faute la plus inacceptable pour l'humanité. Le terrorisme nucléaire est vitalement et définitivement à jamais intolérable pour tous, quelles que puissent être par ailleurs les éventuelles opinions ou convictions positives que puisse tenter de défendre un avocat du diable.
...
Second argument (plus abstrait, mais d'une abstraction pragmatique) :
A échelles terrestre ou locales, quelle inclinaison (voire inclination) d'architecture des systèmes de pouvoir (verticale/horizontale, autocratique/démocratique) est le mieux susceptible de favoriser une amélioration des consciences individuelles ? y compris de celles des décideurs !
Notons d'abord que les décisions du Pouvoir politique résultent des consciences mixant plusieurs volets essentiels dont : volet politicien (efforts pour manipuler autrui), volet de politique au sens noble (censé tenir compte des consciences propres d'autrui), volet technique (au sens noble de l'Art, au sens étymologique , qui fonde les civilisation), volet militaire, volet confessionnel (cultuel , agnostique ou pas) volet rituel (englobant peut-être aussi la fameuse "habitube" pointée du doigt par La Boëtie).
« “Les deux types de révolutionnaires : les apôtres et les techniciens.”» -Roger Martin du Gard
En remarquant que le volet technique n'englobe pas que "la Science" (et bien au-delà des seules technologies), mais aussi des techniques basiques élémentaires, comme celles des normes du langage et de l'écriture (impactant subrepticement les façons de penser ...). comme celle des scrutins, comme celle des conventions de langage non-verbal,
... précédant de beaucoup la doctrine du "MAD" !
Pour abréger cet argumentaire, après avoir noté que certains volets débordent la Pensée de Blaise Pascal concernant "esprit de géométrie/ esprit de finesse" ... remarquons simplement que la probabilité d'efficacité de cette faumeuse doctrine du MAD dépend avant tout du niveau des consciences individuelles et collective (avec réflexivité) des consciences individuelles et collectives chez autrui.
Troisième argument :
« N'agis jamais contre ta conscience, même si l'Etat te le demande » Albert Einstein
éthique relative aux spacialités géographique (terrestre ou plus) sociale, et leurs perspectives temporelles
Ne serait-ce que pour préserver l'espérance de vie d'une seule génération, depuis peu (tout récemment à l'échelle de l'Histoire humaine), l'humanité entière ne peut plus éluder l'impact redoutable de certaines décisions politiques locales sur à la fois tout l'environnement global de notre planète, et sur celui des éventuelles générations futures. (penser au nucléaire civil et militaire, aux exploitations minières et d'"énergies fossiles", aux études financées des P4, aux visées spatiales ...)
Ce propos ne concerne plus seulement, comme autrefois, les seules classiques conflits d'intérets entre nations ou entre groupes confessionnels des religions.
Sont entrées en lice des puissances Industrielles (avec leurs "cultures d'Entreprise", certaines disposant de budgets rivalisant avec ceux de grands pays), des diaspora sociales sous le fanion de 'classes' sociales ('Internationale de riches' , ou inversement ?) , de fondations, ou de visée de Recheches, ...
Le terme, spécifique et politiquement orienté, de "Mondialisation" ne saurait résumer à lui seul ce propos. Que se soit (selon l'optique du terme 'Mondialisation') par l'intermédiaire procédurier des Pouvoirs nationaux officiellement identifiés, ou que ce soit par d'autres voies à inventer, une coordination (verticale ou horizontale) de certains actes politiques est devenue indispensable pour la survie matérielle de tous.
Or, pour qu'une telle coordination puisse opérer avec quelque efficacité, il est urgent maintenant de cesser de commettre la ridicule faute logique du solipsisme de meute.
Les auto-humiliantes connivences avec ceux qui ont basculé vers la plongée dans une hubris incohérente sans avenir crèvent concrètement les yeux; (on ne peut l'ignorer maintenant en France) et, bien au-delà des seuls cheptels locaux d'esclaves ou de chair à canons, ne font que rabaisser et rétrécir(*) l'horizon de toute la planète.
(*) «Le Gouvernement se resserre quand il passe du grand nombre au petit: cʼest-à-dire, de la démocratie à lʼaristocratie » "Du Contrat social - Chapitre X
./ii , au cas où : 'aristocratie' ne signifie pas "pouvoir des Aristocrates", mais : "pouvoir des meilleurs" !
En remarquant que même des 'meilleurs' pas seulement auto-proclamés mais ayant fait preuve d'une dite "excellence", officiellement reconnue ou pas, dans un ou plusieurs domaines de compétences, auront toujours du mal à exceller (selon leurs propres critères) dans tous les domaines. De plus, être "juge et partie" dans la définition des critères d'excellence, n'est pas un gage de capacité à faire usage de raison !
«L'ennui dans ce monde, c'est que les idiots sont sûr d'eux et les gens sensés pleins de doutes.» - Bertrand Russell
inéluctables effondrements, par causes complotistes ou ontologiques ? - par muito le 06/03/2023 @ 17:57
le "silence des pantoufles" (ou bien "la loi du silence" ou l'omerta d'un chef, d'un conducteur "fort" ...) peut-il chasser la guerre ? ...
(prévoir une audition attentive fractionnée en plusieurs périodes : )
Est-ce que, 'la prochaine fois', sera enfin abordée la question tabou, mais encore plus essentielle, soulevée par la notion "d'entropie matérielle" que cette belle prestation illustre, en toute innocence ... ou pas ?
- - -
petite question interdite annexe :
quid de la question "projet HAARP" ? ... s'il est encore permis d'avoir la curiosité d'entendre sans a priori l'évocation d'une question non abordée à la TV
Une culture de l'impunité et de la verticalité ... - par muito le 19/02/2023 @ 12:05
«Les Français sont si peu aveugles qu'ils ne votent plus ...»
recopie d'un des commentaires sous la video : « Bonjour, A la question : "Juan ne vous sentez pas seul isolé? " Non mademoiselle ce monsieur n'est pas seul, nous sommes beaucoup à suivre son évolution et à voir que cette personne reste constante et droite. Même si nous n'adhèrons à tous ces propos nous adhérons à son combat et nous savons qu'il prendra compte de nos réflexions , car il a démontré qu'il n'était pas fermé à toutes idées. »(sic)
« Ma mère m'a toujours dit : 'Vous ne me mettrez jamais en maison de retraite'»
Dans notre culture, qui oserait prétendre trouver des excuses à la moindre complicité tolérant des crimes infâmes ? Déléguer sa propre responsabilité citoyenne à un conducteur soi-disant "éclairé" ? Croire détenir une "La Vérité" non accessible à une masse de "moins égaux" dans notre "fraternité" ?... Une "union qui fait la force" qui serait vendue comme une "fin qui justifierait les moyens" ? ... (et ceux qui chantaient "j'aime l'oignon" ... (qui fait la soupe) deviendraient alors à la fois des va-t-en guerre chair-à-canons et de candides gourmands sans retenue ? ... les honneurs étant réservés à ceux qui auront su minimiser leur exposition corporelle aux risques, tout en calculant froidement un narratif bien caparaçonné, supposé séduire les historiens du futur ? ...
éléments culturels à réviser :
« ... les riches se consolent du mal qu’ils font aux pauvres, en les supposant assez stupides pour n’en rien sentir. [...] Il est naturel qu’on fasse bon marché du bonheur des gens qu’on méprise. Ne vous étonnez donc plus si les politiques parlent du peuple avec tant de dédain, ni si la plupart des philosophes affectent de faire l’homme si méchant.» - Emile, ou De l'éducation - Livre IV
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«pire qu’un peuple asservi : un peuple habitué» - Péguy
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«Mais, ô bon Dieu ! que peut être cela ? comment dirons-nous que cela s’appelle ? quel malheur est celui-là ? quel vice, ou plutôt quel malheureux vice ? Voir un nombre infini de personnes non pas obéir, mais servir ; non pas être gouvernés, mais tyrannisés ; n’ayant ni biens ni parents, femmes ni enfants, ni leur vie même qui soit à eux ! souffrir les pilleries, les paillardises, les cruautés, non pas d’une armée, non pas d’un camp barbare contre lequel il faudrait défendre son sang et sa vie devant, mais d’un seul ; non pas d’un Hercule ni d’un Samson, mais d’un seul hommeau, et le plus souvent le plus lâche et femelin de la nation ; non pas accoutumé à la poudre des batailles, mais encore à grand peine au sable des tournois ; non pas qui puisse par force commander aux hommes, mais tout empêché de servir vilement à la moindre femmelette (¹) ! Appellerons-nous cela lâcheté ? dirons-nous que ceux qui servent soient couards et recrus ? Si deux, si trois, si quatre ne se défendent d’un, cela est étrange, mais toutefois possible ; bien pourra-l’on dire, à bon droit, que c’est faute de cœur. Mais si cent, si mille endurent d’un seul, ne dira-l’on pas qu’ils ne veulent point, non qu’ils n’osent pas se prendre à lui, et que c’est non couardise, mais plutôt mépris ou dédain ? Si l’on voit, non pas cent, non pas mille hommes, mais cent pays, mille villes, un million d’hommes, n’assaillir pas un seul, duquel le mieux traité de tous en reçoit ce mal d’être serf et esclave, comment pourons-nous nommer cela ? est-ce lâcheté ? Or, il y a en tous vices naturellement quelque borne, outre laquelle ils ne peuvent passer : deux peuvent craindre un, et possible dix ; mais mille, mais un million, mais mille villes, si elles ne se défendent d’un, cela n’est pas couardise, elle ne va point jusque-là ; non plus que la vaillance ne s’étend pas qu’un seul échelle une forteresse, qu’il assaille une armée, qu’il conquête un royaume. Donc quel monstre de vice est ceci qui ne mérite pas encore le titre de couardise, qui ne trouve point de nom assez vilain, que la nature désavoue avoir fait et la langue refuse de nommer ? [...] Encore ce seul tyran, il n’est pas besoin de le combattre, il n’est pas besoin de le défaire, il est de soi-même défait, mais que le pays ne consente à sa servitude ; il ne faut pas lui ôter rien, mais ne lui donner rien ; il n’est pas besoin que le pays se mette en peine de faire rien pour soi, pourvu qu’il ne fasse rien contre soi. Ce sont donc les peuples mêmes qui se laissent ou plutôt se font gourmander, puisqu’en cessant de servir ils en seraient quittes ; c’est le peuple qui s’asservit, qui se coupe la gorge, qui, ayant le choix ou d’être serf ou d’être libre, quitte la franchise et prend le joug, qui consent à son mal, ou plutôt le pourchasse»
complétude des solutions imposées aux peuples ? - par muito le 07/02/2023 @ 17:55
Que signifie ce souhait d'évaluer une 'complétude des solutions imposées aux peuples' ?
complétude : par opposition à insuffisance
"solutions" : par ironie ! Car la dictature c'est ferme ta gueule, et la démocratie c'est "cause toujours" . D'un côté des "opérations spéciales" dont la définition précise ne sera jamais connue que de leur annonceur; de l'autre, des "Réformes" censées solutionner des problèmes dont les contours ou urgences ne sont aussi "synthétisés" que par leur annonceur ...
Concernant les "réponses" procédurièrement infligées en France, à des questions que les citoyens Français n'ont même pas eu l'occasion de formuler eux-mêmes, le "juste" et le nécessaire d'une "Réforme" qui se voulait "systémique", ne sont décrétés que par des irresponsables (en rien "visionnaires") en position de "juge et partie". Demande-t-on à un arbitre de noter lui-même la qualité de son arbitrage ? de décider, sans que jamais un bilan impartial ne soit établi, qu'il aurait répondu au nécessaire et avec justice ?!
Quel poids aurait une simple pancarte personnelle, dans une rue perdue dans le gap entre les comptes de manifestants annoncés par police et ceux clamés par des syndicats, pancarte qui tenterait l'une ou l'autre de ces suggestions ? :
- "monnaie fondante" (à réserver aux plus riches supposés investisseurs, oligarques dit-on ailleurs, là où le nécessaire et la justice correspondent à une circulation de cette monnaie basée sur le contre-pied des intérêts finassiers
Les réductions ou crédits d'impôts (genre « Madelin ») pourraient être fournis aux mieux nantis sous la forme de billets datés "fondants" (perdant chaque mois un 12e de leur valeur), après qu'ils aient réglé au fisc leur impôt non réduit en monnaie classique, sonnante et trébuchante ... )
- Revenu Minimum (donc sans aucune contrepartie de 'travail') d'Existence citoyenne (justement réservé aux citoyens). ( Là ou les gens vraiment civilisés ont compris que: "il n'est de richesse que d'hommes". et là où les gens de coeur, et équipés d'un minimum de culture, savent se souvenir de ce que signifiait «noblesse oblige»; car éviter de confondre l'égalité en dignité, voulue par notre devise française, avec l'inénarrable oxymore d'une "égalité des chances", cela permet de mesurer la distance entre un alignement par le haut (noble) de cette dignité avec un alignement par le bas (loterie des 'chances' de conclure un contrat de subordination) ! Le prix de la vie étant infiniment au-dessus de n'importe quelle fortune pécuniaire, il est beaucoup plus grave d'exiger d'un citoyen qu'il offre sa vie
(le sacrifice patriotique personnel ne peut plus être reconnu dès qu'il est exigé, en devenant une immolation. Par contre le vrai choix de citoyens qui, au prix de leur vie, refusent librement une reddition, n'est pas à négocier au-dessus de leurs têtes et de leur âme par des 'amis' de l'étranger qui voudraient les 'sauver' malgré eux. Quoi qu'il advienne, le terrorisme, nucléaire ou sous toutes ses formes, le mensonge, la duplicité, les envahissements et propagandes prétentieuses, le recours au crime auto-infamant, ne pourront jamais inspirer des convictions suscitant des engagements vitaux pérennes.)
, que de demander à un spéculateur fortuné de céder, sans déserter lui non plus, une part des biens qu'il a amassés grâce aux talents, bonnes volontés, et efforts combinés de ses compatriotes.
« Qui accumule les richesses a beaucoup à perdre » - Lao Tseu
Les parcours professionnels hachés (suites de périodes de contrats de subordinations entrecoupées de quoi ? de maladies, de galères, de dévouements gratuits, de révoltes légitimes, etc ...) devraient-ils être sanctionnés à l'heure d'une "retraite" pourtant reconnue aux amoureux d'un "travail" qui n'en auront, eux, jamais été privés ? ...
Là où l'on ne supporterait pas que des prisonniers soient privés de toit, de nourriture ou de soins même s'ils n'obtempèrent pas devant leur maton, serait-il cohérent ou même seulement pertinent que l'on n'aie pas les mêmes égards concernant des citoyens honnêtes sous le prétexte qu'ils n'ont pas pu additionner un nombre exigé d'annuités de contrats de subordination ?! en piqure de rappel : cf la position qu'avait exprimée le Garde de sceaux concernant la dignité des détenus au sujet d'une injection contestée qui a causé bien des pertes d'annuités de retraite parmi d'ex-professionnels du domaine médical ...
"C’est un conseil, une incitation, pas davantage" / "Les mêms droits que la société civile" ?
La multiplication des divisions, au delà des statuts privé/public, entre droits du travail différents doit elle fatalement se poursuivre pour être saucissonnée entre des droits différents pour chaque métier exercé ? ... dans une époque où, à travers le monde entier, une jeunesse qui peine de plus en plus à entrer dans un "marché de l'emploi", donne déjà souvent lieu à des cursus passant par aviateur, puis manutentionnaire, puis informaticien, puis musicien, puis soldat ... en attendant la suite ! )
- Téléphonne Arabe/Anonyme Informatisé citoyen Un nouveau protocole d'échanges autorisé, co-inventé et contrôlé collectivement, pour que les urgences ou suggestions librement réfléchies par chaque citoyen puissent être publiées anonymement devant tous, dès que chacun en estime le besoin (et non plus aux instants préparés décidés par un 'maître des horloges')
- ... suggestions à compléter ! (... à timbrer ainsi :← Aa_56pRKc8pzp )
Entre STEP, TAC (Toile d'Araignée Cosmique) ... et TAAIc (Tel Arabe Anonyme Informatrisé citoyen), quel projet est (était / sera) le plus urgent ? pour la France, voire l'humanité ? dont l'invention et la réalisation seraient réservées à une poignée de spécialistes ?
)
anonymat ? « étonnant ce qu'on peut accomplir lorsqu'on ne se préoccupe pas de qui s'en voit attribuer le mérite »
Citations connexes : (anonymisées ici)
“L’ennui dans ce monde, c’est que les idiots sont sûrs d’eux et les gens sensés pleins de doutes.”
“Réfléchir c'est difficile, c'est pourquoi la plupart des gens jugent.”
« Ce sont les tonneaux vides qui font le plus de bruit »
« Les jeunes sont toujours prêts à faire bénéficier leurs aînés du bénéfice de leur inexpérience.»
« La connaissance s'acquiert par l'expérience, tout le reste n'est que de l'information.»
Poings sur lazy - par muito le 30/01/2023 @ 08:53
(droit de réponse à une irritante propagande médiatique)
Préliminaire : Le poids des mots dépasse parfois celui des bombes par son pouvoir de nuisance. Aujourd’hui, plus que jamais et moins que demain, le temps accélère son accélération, et, puisque nos abuseurs des média ne prennent pas le temps de tourner 7 fois leur langue dans leur bouche, nous devrions avoir droit à quelque indulgence si cette présente répartie est elle-même formulée de façon précipitée, vu l’urgence d’un ‘travail’ réclamé, interrompu ici pour la cause.
Notons d’abord que : - ce qui compte n’est pas ce que nous pensons exprimer, mais les arguments avec lesquels nous défendons nos propos. - cautionner une pensée exprimée par un autre n’a rien à voir avec une allégeance à tout ce qu’a pu ou pourra formuler la personne citée. - « Mal nommer les choses, c'est ajouter au malheur du monde ! » a dit Albert Camus Lorsque son sens n’est pas explicité et contextualisé le mot ‘travail’ est très trompeur ; ne serait-ce que à cause de sa polysémie.
- et puis encore : la capacité à se contenter de hausser les épaules face à un argumentaire, ne sera jamais confondue avec un contre-argument recevable; par contre, l'usage de ce comportement douteux constitue un fait certain qu'il est tout à fait légitime et pertinent de constater attentivement en fronçant les sourcils.
… Remarque connexe : « On mesure l'intelligence d'un individu à la quantité d'incertitudes qu'il est capable de supporter ». (Emmanuel Kant) Lorsqu’un pédagogiseur nous témoigne de la distanciation personnelle qu’il oppose à ce propos culturellement célèbre … ce ne sont ni sa contemporanéité, ni des titres de « scientifique », de philosophe ou de rhéteur impénitent qui pourront nous apporter d’autre certitude que le fait d’avoir constaté son témoignage personnel de point de vue; « des goûts et des couleurs, on ne discute pas »Point. Par contre, cette citation, elle, bénéficie par sa notoriété historique et culturelle dans notre civilisation, d’un atout de légitimité à mobiliser les esprits scrutateurs ; atout que ne devraient pas négliger les éditorialistes enclins à nous « synthétiser» jour après jour leur sélection pré-cuite de (pravda ?) Vérités du moment à retenir.
citation d'actualité : "Nul n'a droit au superflu tant que chacun n'a pas le nécessaire" Anne-Cécile ROBERT
./ii : Actuellement, parmi les media les plus en vue, nous avons pu entendre des gens influents clamer devant des millions d’auditeurs captifs que, selon eux, certains Français (voire « les jeunes ») n’aimeraient pas ‘le travail ‘. La grande faute de ce genre d’affirmation est, encore une fois, que ces beaux parleurs, ont omis de prendre la peine (le ‘travail’ ?) de préciser leur propos en formulant d’abord quelle est l’acception du mot ‘travail’ qu’ils sous-entendent par leur affirmation lapidaire !
Se peut-il que des gens qui se veulent, tour à tour (ou « en même temps »?) philosophes, lettrés, analystes politiques, ‘intellectuels’, politiciens … au point de finir par penser en permanence à voix haute devant tout un peuple, se permettent de n’avoir jamais vraiment lu avec toute l’attention requise de la part d’un logicien, le fameux « In praise of idleness » que leurs auditeurs eux-mêmes ne sont pas censés ignorer ? Se permettre d’interpréter la pensée de toute une population sans présenter au préalable une preuve cartésienne, des mesures reproductibles, de la factualité de cette interprétation : voilà qui ne laisse place ni à l’esprit de géométrie, ni à l’esprit de finesse . Qui n’a pas lu l’oeuvre « In praise of idleness » se parjure soi-même, chaque fois qu’il se trahit par des propos montrant qu’il n’en connaît que le titre, mais se permet pourtant d’en tirer des conclusions. Qui suppose que la population dont il parle n’a pas lu cette œuvre, ou n’en connaît que le titre, manque tout autant d’honnêteté intellectuelle, c’est à dire d’honnêteté tout court. Qui juge une population dont il se permet d’ignorer certains points de culture, est-il digne de mobiliser sans cesse l’attention de cette même population par les média les plus incontournables ?
Par ailleurs, ce qui pourrait être constructif, ou au moins instructif, ce serait que ceux qui semblent prêts à prétendre que l'auteur évoqué ici n'aimait pas le travail produisent (ou commettent ?) consciencieusement un contre-argumentaire détaillé de l'oeuvre qu'ils ont osé snober.
_____ Remarque pour illustrer la différence entre un logicien qui vous instruit et des Importants de plateaux TV qui veulent vous "faire de la pédagogie" :
Un George Boole qui, à juste titre, par ses conventions de symboles mathématiques évitant les confusions (*) du langage naturel, estimait avoir contribué plus fondamentalement à une part de philosophie que des siècles de rhétoriciens, nous a fait prendre conscience, entre autres, de cette vérité logique : « p ⇒ q » équivaut à « ¬ ( p ∧ ¬ q ) » ainsi qu'à « (¬ p) ∨ q ».
Cette vérité logique, elle, ne pourra jamais être suspectée de participer d'une propagande, ni même seulement à une prétention à de la maïeutique.
(*) Syllogisme est emprunté au grec συλλογισμός, composé de σύν (syn, « avec ») et λόγος (logos, « parole », « discours », « fable », « bruit », « lettres »)2. Le sens de logos à utiliser est tout simplement parole (désignant ici une proposition). Syllogisme signifie donc littéralement « parole (qui va) avec (une autre) »
______
Une autre formulation du "sapere aude" des Lumières (bizarrement oublié dans bien des cursus scolaires en France) :
« Un peuple de moutons finit par engendrer un gouvernement de loups. » Agatha Christie
(Ne serait-ce pas d'actualité par hasard ?)
Comment se fait-il qu'aujourd'hui nos "élites" et nos Importants, qui exploitent les avancées technologiques et leur aura et influence médiatique et sociale pour nous pondre en librairie, chaque année, ou presque chaque mois, des tonnes d'oeuvres volumineuses, ne communiquent et ne réagissent devant les peuples que par des tweet, ou des quasi-slogans-publicitaires ? Il semblerait qu'ils soient tellement persuadés avoir parfaitement assimilé les plus basiques et les plus concises de nos références culturelles, qu'ils se permettent de les oublier totalement, sans jamais avoir ni enrichi, ni contre-argumenté les arguments qui fondent notre culture. Quid de l'essai "Du contrat social" ? des travaux d'un Condorcet concernant la question des scrutins ? ... du tout petit texte "In praise of idleness" ? (à peine 12 pages dans sa version originale intégrale, gratuite sur le net) ...
Notez que ces lignes n'ont pas plus la prétention d'un tweet que celle d'un pavé vendu en librairie.
_____________________ Ceux qui ne bêlent pas amen à une « Réforme » des « retraites » se voient reprocher de ne pas « aimer » le « travail » ? Qui ose publiquement provoquer ses compatriotes par de tels mots ?
- les kapos, qui « travaillaient » avec les SS ont pu, semble-t-il aimer leur « travail » ! …
(cf le tristement célèbre "Arbeit macht frei" qui accueillait les 'travailleurs' des camps de la mort
Ce slogan fut repris par les nazis dans les années 1930.
C'est le général SS Theodor Eicke qui ordonna l'apposition de la phrase à l'entrée des camps de concentration et des camps d'extermination, notamment Auschwitz, Dachau, Gross-Rosen, Sachsenhausen, et à la prison de la Gestapo de Theresienstadt en République tchèque.
Avant cela, cette phrase avait été utilisée par la société allemande IG Farben dont les membres du conseil d’administration, à l’exception d’un seul, devinrent membres militants du parti national socialiste, parachevant ainsi la nazification de la firme. Arbeit macht frei figurait au-dessus du fronton de ses usines.
)
- n’est-il pas inconséquent, aujourd ‘hui, (par ceux-là même qui, par ailleurs, ne cessent, à juste titre, d’appeler à un « devoir de mémoire » ) d’oublier les enseignements acquis par le Tribunal de Nuremberg ? Qui ose encore aujourd’hui perdre de vue qu’il ne suffit pas de « travailler » pour éviter par ce simple fait toute mise en cause future dans d’éventuels crimes de guerre ou pire ! - Lorsque le (au neutre pour qui comprend bien le français ) haut responsable d’une centrale nucléaire a démissionné de ses fonctions pour ne pas cautionner des décisions qu’il estime trop risquées ou inconséquentes, dans quel contexte se retrouve-t-il sur le « marché du travail » ? Devra-t-il, plus tard, accepter d’être considéré comme moins « méritant » que ses homologues qui n’auront pas su démissionner mais revendiqueront, eux, à la fois un haut revenu de « retraite » et de la déférence et des honneurs pour avoir su prendre le beurre et l’argent du beurre ? … Cette question ne concerne-t-elle alors que ce démissionnaire ? Le Pays tout entier peut-il se permettre longtemps d’inciter ainsi les lâches à cacher sous le tapis les bogues qu’il est professionnellement dangereux de dénoncer ? (**) … Si vous n’êtes pas, ici, capables de poursuivre bien plus loin, la réflexion en envisageant bien d’autres cas … êtes-vous bien sûrs d’être crédibles lorsque vous ferez appel au concept démocratique ? …
(**) voir encore ces titres classiques dans une part de la culture populaire moderne ignorée par les média mainsteam : "Souffrance en France" , "Ils ne mouraient pas tous mais tous étaient frappés" ...
«Il est plus facile de légaliser certaines choses que de les légitimer» Sébastien Chamfort
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Illustration de la nécessité d'une capacité d'abstraction logique pour le dialogue diplomatique entre terriens de cultures différentes. Supposons que vous demandiez à un Français et à un Roumain muets de vous répondre par signe de la tête à la question suivante : 1 est-il supérieur à 2 ? Si le Français vous répond en tournant alternativement la tête de droite à gauche, et si le Roumain balance alternativement la tête de haut en bas, ... ils auront raison tous les deux; mais, pour s'en rendre compte, il est cependant nécessaire qu'ils sachent que leur conscience identique de la même vérité logique se traduit de façon inversée dans leurs pays respectifs ! La perception et la capacité à reconnaître la vérité logique, unique et universelle, étant la même à travers toute notre planète, depuis toujours, et pour toujours, la base de tout échange diplomatique ne devrait-elle pas se soucier avant tout de coller à des considérations de logique élémentaire ? (genre : Quand A signifie sa crainte d'être "encerclé" par B , ne craint-il pas plutôt de risquer de disposer de moins de temps que B pour réagir à une éventuelle agression par missiles ? Mais alors, si A a déjà revendiqué sa capacité à anéantir B par des missiles hyper-véloces bien plus rapides et puissants que ceux de B, ce A est-il logiquement cohérent ? Sachant qu'une seule incohérence détruit mathématiquement toute possibilité de rationalité et d'échange sincère, et constitue donc une énorme menace affligeant toute la planète, voire plus. )
“La plupart des gens préféreraient mourir que de réfléchir. C'est ce qu'ils font d'ailleurs.”
Hélas ! Les moutons complices, identifiés depuis fort longtemps par des références culturelles comme La Boetie (Discours de la servitude volontaire) ou La Fontaine (Les grenouilles qui demandent un roi) veulent se persuader que personne ne les voit venir avec leurs petits sabots lorsqu'ils reprennent en choeur le narratif d'un chantage terroriste qui a déjà tué maintenant nombre d'entre eux au profit d'un envahissement, pourtant à la fois annoncé de longue date, mais travesti par le "spécial" de son "opération" qui voudrait cacher derrière son ombre les horreurs indéfendables d'une fin peu finaude prétendant justifier des moyens indéfendables.
"Vivre ensemble comme des frères au lieu de mourir tous ensemble comme des idiots" Cela demande un minimum d'honnêteté devant l'univers et de rigueur de raisonnement non abandonnée à la loi du plus brutal. ../ii : Ensemble : pas de tri-jugements-sans-procès de gens à sacrifier ou immoler ! Vivre ensemble : en commençant par envahir, tuer, ou pire ?! Remarquons que toute faute de logique discrédite mathématiquement et définitivement toute prétention à démontrer, quelque louable que puisse être l'intention de cette prétention.
"La philosophie antique nous apprenait à accepter notre mort. La philosophie moderne, la mort des autres" Michel Foucault
Qui d'autre qu'un banal "ange déchu" peut avoir la prétention suprême de vouloir con-duire à une nouvelle "Humanité" par l'instrument d'un nouveau "péché originel" instaurant une époque de terrorisme nucléaire et de sidération par l'effroi ?! L'oeil au fond de la tombe, regardant Caïn, peut-il nous laisser espérer qu'un handicap généralisé d'Alzheimer pourrait permettre un reset innocent de notre humanité aujourd'hui menacée ? Le défi à relever ne reste-t-il pas, plus que jamais, de trouver une rencontre rapide entre reconnaissances de fautes et capacités à pardonner les pires crimes sincèrement avoués, reconnus et regrettés ? (Personne n'étant a priori totalement exempt d'examen de conscience à réaliser ) Sachant qu'aucune rédemption n'est possible si elle n'est pas sincèrement désirée.
"errare humanum est ...sed perseverare diabolicum" Un angélisme miraculeux sera nécessaire pour que, dans le futur, les victimes puissent réussir, sans oublier, à pardonner les malheureux qui, le fusil de leur dictateur sur la tempe, ont obéi à des ordres indéfendables. Mais il sera incomparablement plus difficile encore, aux descendants de ces victimes (mais encore à tous ceux qui récusent un solipsisme de meute poussant à confondre être et paraître), de supporter les arguties de ceux qui, (dans "des pays où les gens au creux des lits font des rêves") auront oublié ce qu'eux-mêmes, se pensant non menacés aujourd'hui, reprochent à certains de leurs compatriotes catalogués comme co-responsables de ce dont un "devoir de mémoire" est censé nous préserver.
« le solipsiste "c'est un fou incurable enfermé dans un blockhaus imprenable" » - Shopenhauer
______________________ autre ./ii :
Est-ce que ce monde est sérieux ? (chercher les lyrics de cette chanson du Francis, ou d'echos de cette chanson ...
Remarquer, sans vouloir épuiser le sujet, que dans "Est-ce ainsi que les hommes vivent ?", une autre forme de 'travail' plutôt associé aux femmes est évoquée ... )
Témoignage fictif pour une autre chanson :
« J’ai une addiction à l’exercice physique, qui m’a permis de briller dans une ‘compétition sportive’ dont j’ai fait mon métier, si bien que je suis grassement payé pour entretenir à la fois mon addiction et le fanatisme de foules entières qui m’applaudissent depuis leurs canapés, ou dans des phénomènes de masse liés à l’industrie des stades (‘circenses’ du ‘panem et circenses’ moderne) et à une part notoire des pratiques de manipulations politicardes. J’ai donc le mérite d’aimer mon ‘travail’ ! Et j’invite tous les abbée Pierre ou Mère Thérésa à ‘travailler’ plutôt qu’à la ramener lorsqu’ils se font plaisir à cotoyer les déshérités qui « n’aiment ni les riches ni l’argent ». Au pire, qu’on leur donne un peu plus de ‘loisir’, ainsi qu’aux pompiers volontaires, aux bidasses recensés de gré ou de force … , si ça peut permettre d’éviter toute remise en question du ‘travail’ ! »
«C’est sous la forme du travail librement salarié que l’esclavage humain a atteint à notre époque son point culminant» - G.B. Sahw
opération spéciale, réforme des retraites, ces machoires autocratiques menacent la cohésion national - par muito le 19/01/2023 @ 18:10
Les Français sont actuellement pris dans cet étau : entre perspectives de guerre civile larvée ( cf ..., gilets jaunes, problèmes sanito-politico-finassier ... ou pire encore ), et mise au pied du mur du terrorisme nucléaire patiemment et méthodiquement conduit par un faux 'Robin des bois' qui exploite l'espoir naïf de popu-lasses enclines à déléguer fautivement leur responsabilité individuelle dans la voie facile d'une immature sujétion exogène choisie , - mais popu-losts excédés par le mensonge profond d'une traduction faussée du concept démocratique sincère.
Oui, le trait d'union entre ces deux maux qui rongent la France depuis si longtemps passe bel et bien, et avant tout ! par la manipulation des mots. ( notamment : démocratie, travail , Ordre , guerre , Réforme , Urgence ...) Pour ce qui est du mot "travail" (actuellement masqué, ou occulté par le mot "retraite"), encore une fois, rappelons que les trop rares commentateurs (politiciens, éditorialistes, 'journalistes' ..) qui aujourd'hui pensent à le rapprocher des mots : "loisir", ou "temps libre". ces professionnels des moulins à paroles, oublient systématiquement des mots comme 'otium' (sorte de 'loisir studieux) ou comme le "idleness" du fameux "In praise of idleness" du très célèbre logicien et philosophe Bertrand Russell ...
Trouver le texte (gratuit) intégral, original ou traduit, de cet ouvrage concis, et le lire en un rien de temps, serait-ce une corvée, du travail, du loisir, de l'otium ? ... ou encore, de la curiosité, du renseignement, de la culture ? ... du divertissement , ou de la vraie philosophie, un acte nécessaire au mûrissement de débats citoyens plus vrais que les monologues servis sur des plateaux TV légitimés on n'ose savoir comment ?
L'actuelle mobilisation des Français dans la rue, vue de l'étranger (hors de notre France), risque bien d'être perçue comme une attitude égoïste et détachée des enjeux géostratégiques immédiats; mais s'il devient probablement dangereux (à terme) de risquer en interne d'exposer ses propres vues concernant la fumeuse 'opération spéciale" ... il reste que tout ce qui peut par ailleurs rapprocher des Français, ne serait-ce que selon un intérêt diplomatique bien entendu, ne saurait être dénigré.
En ce qui concerne donc les concepts de travail, d'otium, de Revenu Minimum d'Existence, comment ne pas remarquer l'apport constructif inégalé de l'effort du seul 'Intellectuel' digne de ce nom qui a su commencer son ouvrage publié concernant le 'travail' par une précision logique et honnête du principal mot autour duquel gravitent depuis si longtemps des théories ou encyclique ayant mobilisé si fort autant de foules ?! ( cf : la vieille visée d'une "Internationale" des "Travailleurs" ne peut-elle pas être envisagée comme un trait d'union masqué entre les motivations données en pâture à la rue ? Aujourd'hui en France, qui tombe dans le piège de "négocier" une "retraite" est du pain béni pour tous ceux qui entretiennent de très gros "intérêts" à dissuader quiconque d'oser revendiquer un "sapere aude" personnel au sujet du mot "travail" )
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Il semble naturel à tous que le citoyen de base soit éventuellement contraint par son gouvernement à sacrifier sa vie sur un champ de bataille, pour peu qu'une décision officielle ait été produite. Soit. Mais alors comment peut-on s'expliquer que certains 'importants' , en France 'démocratique' puissent susurrer qu'il serait stupide d'augmenter une contribution financière des plus riches quand ils reconnaissent pourtant une nécessité de sauver un dispositif officiel d'équilibrage social ? Selon leurs "hautes" vues, des Importants riches et puissants auraient, Eux, le droit de déserter en fuyant à l'étranger avec "leurs" fortunes, quand, même en France, lors de la 1e guerre mondiale, des appelés du bas peuple ont été contraints par leur hiérarchie militaire à fusiller certains de leurs frères d'arme désignés comme déserteurs ! ...
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AUTRES éléments d'approche du sujet actuel, passant logiquement, quand on vise à être raisonnable et honnête, par une interrogation procédurière des éléments de langage sur lesquels s'appuie encore actuellement l'appel officiel à un "ordre" qu'il faudrait respecter :
extrait de la Constitution du 4 octobre 1958 en vigueur en France : --- ARTICLE 5.
Le Président de la République veille au respect de la Constitution.
Il assure, par son arbitrage, le fonctionnement régulier des pouvoirs publics ainsi que la continuité de l'État.
Il est le garant de l'indépendance nationale, de l'intégrité du territoire et du respect des traités. ---
______ continuité de l'État
" ... l' Etat reste juridiquement identique à lui-même, même si il subit certaine transformation." ( éléments d'approche du concept : - 'fiction juridique' . modification du territoire, changement de gouvernement , etc ... - La 'continuité d'un Etat est-elle réglée par son droit interne ou par le droit international ? D'où ces 2 doctrines : # le droit international ne ferait que renvoyer au droit interne qui a la charge de vérifier in concreto la situation réelle ou bien : # le domaine du droit international se distingue du droit interne . ) ______ Interrogation : est-ce que la définition officielle du mot français "arbitrage" est compatible avec l'idée de quelqu'un chargé de veiller au respect de règles du jeu qu'il a proposées lui-même (dans un "programme" électoral) ou qu'il redéfinit lui-même, en même temps, chaque fois qu'il le veut, en parfait "maître des horloges" ?
du genre : - je fais poser ma bouse; et puis je cours dare-dare parader quelque part à l'étranger, trop surbooké pour daigner vérifier d'abord si cette fumure est assimilée par le sol natal , ou recrachée illico par les anticorps têtus que je ne saurais découvrir
"Facts do not cease to exist because they are ignored"
peuple français excédé - par frater le 15/07/2022 @ 13:27
Halte aux trahisons en France ! - par frater le 06/07/2022 @ 11:32
ça suffit ces provocations des braves gens, et ces trahisons arrogantes des Français et de la France !
← Aa_4qyZGo7gsx
...
en 09:05 "Il faut les réintégrer là, ils ne sont p)lus 15000 ; ils sont environ 2000 aujourd'hui Il faut les réintégrer parce que chaque agent qui manque aujourd'hui ce sont des lits fermés Mais surtout nous avons entre 150 000 et 200 000 infirmières qui ont abandonné le métier ! ..."
- Ô comme on les comprend ces infirmières qui ont abandonné le métier ! Mais bien plus encore, maintenant, en toute complicité avec cet affront malhonnête, inexcusable et criminel, commis contre ces 200 000 infirmières dans leur droit, comme on ne comprend pas ces décérébrés qui déplorent le manque de vocations qu'ils ont méthodiquement orchestré et applaudi !! Ceux qui ne sont pas (ou plus) respectables aujourd'hui sont ceux qui font mine de ne pas comprendre (à moins qu'ils ne comprennent vraiment pas ?!) que cette trahison détruit la cohésion nationale et la France bien au-delà du seul secteur de la santé ! La perte de confiance vis à vis des auto-proclamées "élites" de notre pays ne peut maintenant plus être corrigée par seulement une "réintégration" des victimes ... qui ne sont pas les avatars d'un jeu vidéo, dotés de plusieurs vies ! La sagesse populaire médite maintenant cet aphorisme : «La confiance se gagne en gouttes; et se perd en litres. » ← Aa_4qyiId79O6
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← Aa_4qyzoL0zgY Se peut-il que ceux qui osent prétendre "faire de la pédagogie" réussissent à oublier que ni l'habit ni les insignes ne suffisent à faire un militaire.(Pas plus que l'habit ne fait le moine. Ni que l'absence d'habits de l'empereur ne dissuade l'enfant de le voir nu !) La dignité, a fortiori la respectabilité, ne se dissolvent pas dans une obéissance irresponsable ou dans des arguties idéologiques, scientistes, dans des postures prétendument "éclairées"; elles passent par la capacité à savoir défendre avec droiture une conscience et responsabilité personnelles humaines. L'actualité nous prouve qu'il ne suffit pas de se conformer scrupuleusement et procédurièrement au pouvoir dominant auquel on est assujetti ... pour éviter la honte mondiale et historique d'être un jour démasqué comme criminel de guerre.
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Téléphonne Arabe/Anonyme Informatisé citoyen Un nouveau protocole d'échanges autorisé, co-inventé et contrôlé collectivement, pour que les urgences ou suggestions librement réfléchies par chaque citoyen puissent être publiées anonymement devant tous, dès que chacun en estime le besoin (et non plus aux instants préparés décidés par un 'maître des horloges') 
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"Il faut se méfier de l'eau qui dort !"
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