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Nouvelles

L'art c'est moi, la science c'est nous - la démocratie c'est nous et moi. - par Lambdart le 13/11/2014 @ 12:58

D'abord, bravo à 'notre' Philae de Rosetta (cf http://la21e.20minutes.fr/rosetta/) !

( 'notre' ? : parce que la France a payé ?
cf http://fr.wikipedia.org/wiki/Rosetta_%28sonde_spatiale%29 )

Alors, on va dire : "On a eu un bon plan sur la comète"
comme on disait : "On est allés sur la lune" ?

Etonnant comme le terrien Lambda (t'es-rien ou t'es pas rien ?) s'approprie, par ce "On", les exploits des scientifiques !
Ce qui semble bien confirmer le : "la science c'est nous" ! wink


Par contre, il ne viendrait à l'idée de personne de dire "On a peint la Joconde" ou encore "On a inventé la Petite musique de nuit".

Est-ce seulement une question de non participation financière aux oeuvres dites artistiques (par opposition aux oeuvres scientifiques - non artistiques ? -) ?    
     
D'ailleurs, question : combien de gens connaissent des oeuvres 'artistiques' célèbres collaboratives ?
Ce qui semble bien confirmer le : "L'art c'est moi" ! wink

( Et le "sport", les performances de virtuosité, c'est de l'Art ? ou seulement du "c'est moi" ?  biggrin )

. . .
Tout ce préambule pour en arriver à ce constat :
- la prouesse technologique de Philae de Rosetta n'a d'égale que l'obsolescence de notre système de légitimation du pouvoir politique !
    
La démocratie devrait être un : "Le pouvoir, c'est nous"
... mais pas seulement, pour le lambda de base, en se contentant de financer des outils de vote 'clé-en-main" comme 'on' le fait trop pour "La science" !
Il nous reste encore à participer, à co-inventer, à relever des défis collaboratifs pour que chacun s'approprie non seulement des résultats mais, avant tout, un maximum des techniques, arts et capacités à inventer/s'adapter sur lesquels se basent nos cultures.

« l’innovation doit être collective pour être assimilée »

Il serait temps de se mettre à penser :
"la démocratie c'est nous et moi"



Références :
“L’art c’est moi, la science c’est nous”, disait Claude Bernard
“L’art c’est moi, la science c’est nous”, disait Claude Bernard
« L'art c'est moi, la science c'est nous .» - Claude Bernard

Il n’y a jamais eu de périodes artistiques par exemple où les artistes n’ont pas utilisé les techniques de pointe de la science
Il n’y a jamais eu de périodes artistiques par exemple où les artistes n’ont pas utilisé les techniques de pointe de la science
Bruno Latour (cf http://profondeurdechamps.com/2012/10/19/entretien-avec-bruno-latour-12-lart-et-la-science/ ) :
il s’agit dans le cas des sciences d’accéder à des phénomènes lointains, et dans le cas des arts de nous rendre sensibles à des phénomènes relativement proches
il s’agit dans le cas des sciences d’accéder à des phénomènes lointains, et dans le cas des arts de nous rendre sensibles à des phénomènes relativement proches.
« Il s'agit dans le cas des sciences d'accéder à des phénomènes lointains,
et dans le cas des arts de nous rendre sensibles à des phénomènes relativement proches .»
   [ par rapport à la comète, les Maoris sont mes voisin !]

« ... les artistes et les scientifiques ont toujours collaboré intimement dans la production des instruments ... »   [ cette production n'étant un but en soi pour personne ... ]




«Si ... on s'abuse aujourd'hui, c'est en espérant trop de connaissances de l'individu et trop de synthèse de la société.» - J. Robert Oppenheimer








autre remarque

Malraux a dit :
« Le XX1e siècle sera spirituel ou ne sera pas »

ce qu'un scientifique a cru bon de pasticher en :
« Le XX1e siècle sera spacial ou ne sera pas »

Ayons alors l'humilité de dire :
« Le XX1e siècle sera honnête ou ne sera pas »


Explication :
Un mensonge est une contre-vérité consciemment et intentionnellement proférée.

Notre légitimation du pouvoir officiel est basée sur deux faussetés :
  • un système de scrutin dit 'garant de La Démocratie' :
    or, tous les pères de l'idéal démocratique, bien avant Monsieur E. Chouard, ont remarqué que ce principe n'était pas compatible avec cet idéal !

  • un principe de collégialité dit 'démocratique' :
    or, cette collégialité est fondée sur le mérite/compétence;
    et des gens 'méritants' ne peuvent pas ignorer qu'un pouvoir fondé sur le mérite s'appelle 'aristocratie' et non point démocratie.

  • Or, consciemment et intentionnellement, une grande majorité de ceux qui, en fait, militent pour un pouvoir aristocratique tiennent à baptiser ce pouvoir "démocratie" :
    c'est un mensonge ! (et le 'mensonge de bonne foi' ne saurait exister, puisque c'est un acte intentionnel )


    Vals lapsuce une égalité des poings sur lazy - par HilaireDerien le 25/10/2014 @ 15:00

    Contrat unique (cons-rats tu niques) réservé à la majorité de celles et ceux qui sont moins égaux et moins normaux que les procédurièrement nommés 'garants de La Démocratie' !

    Les jeux de mollets et les jambettes n'ont qu'à bien se tenir :
    on voudrait bien se forcer à en rire, et ne pas avoir l'humour paresseux, mais la rigolade aussi, quand c'est laborieux, ça laisse à désirer. Soit. Mais alors, c'est une bonne occasion de remarquer que si on veut être sérieux, il faut se pencher sur bien pires désagréments et duperies laborieuses.

    Les discours de bien trop de nos bien-pensants reviennent à donner des coups de poings virtuels à des bouc émissaires a priori paresseux ('lazy' en anglais) : alors essayons plutôt de leur mettre les points sur les 'i', eux !

    décodage de notre titre :
    La paresse de Vals dans son apparent effort vers plus d'égalité constitue un lapsus !

    En piochant au hasard dans la Presse on lit dans "Le Parisien" :
    Manuel Valls affiche lui aussi sa volonté d'agir sur les «inégalités importantes» entre les salariés «très protégés» en CDI et les précaires en CDD et en intérim. Vu la situation économique, les entreprises sont très réticentes au CDI. Les CDD de moins d'un mois représentaient sept embauches sur 10 au troisième trimestre, même si près de neuf salariés sur dix sont encore en CDI.


    Le lapsus, dans cette soudaine prise de conscience, c'est le "deux poids deux mesures" avec lequel elle est gérée. Ni Vals ni aucun des commentateurs, 'importants' officiels et journalistes, ne semblent avoir réalisé une seconde ... que pour prétendre au qualificatif de "unique", le CDD-pour-tous, dont il est question en guise de solution, devrait aussi concerner tous les politiciens (y compris sénateurs et ex-présidents de la République), et les fonctionnaires !

    STOP ! Il est bien évident que la phrase précédente déclenchera statistiquement un tollé pavlovien trop classique de la part de gens qui se croient personnellement attaqués. (On entend déjà les sempiternelles objections qui se résument toujours à : "jaloux" , "pas capables de passer les concours", "devraient essayer de se faire élire", ou, comble de paradoxe : "agitateurs souhaitant opposer entre eux les Français").

    Le lapsus pointé ici révèle plus qu'une erreur de raisonnement : un faux raisonnement ou un raisonnement faux !

    Dès lors qu'on envisagera que le seul contrat de travail, pour quelque Français que ce soit (y compris Vals), ne peut être qu'un CDD comment ne pas voir que cette solution implique (et inclue) une remise en question des statuts privilégiés de la fonction publique ?

    Bien sûr qu'un CDD-unique-pour-gens-du-privé serait un pas souhaitable pour plus d'égalité au sein de la partie concernée de la population française : ce serait au moins l'occasion de mieux partager de justes doléances communes !
    Mais le fait-même de reconnaître une nécessité d'harmoniser le statut salarial dans cette catégorie de Français plaide pour le même besoin d'harmoniser le statut salarial entre tous les Français : un seul droit du travail pour tous les Français, égaux en dignité et en droit, sans exception(s) !

    Vouloir exclure du "contrat unique" une quelconque catégorie de Français, revient à reconnaître que cette 'solution' ne répond pas à tous les impératifs. Pire alors : si une majorité est astreinte à cette solution, c'est une majorité soumise à une 'solution' boiteuse.
    (Des 'garants' de l'égalité démocratique ne sauraient se comporter autrement qu'en prônant par l'exemple, en commençant par eux-mêmes, l'adoption de ce "contrat unique"

    « La garantie de l'emploi dans la Fonction publique est "un moyen d'assurer aux usagers un service public rendu de manière impartiale, par des agents préservés des pressions politiques et partisanes" »  => !!!

    * de manière impartiale ? :
    => certainement pas, avec des prétendus serviteurs qui auraient besoin, pour rester honnêtes, d'être achetés par l' attribution définitive d'un droit du travail aux petits oignons rien que pour eux-mêmes !  ( Français 'plus égaux' que les autres !!)

    * préservés des pressions politiques et partisanes ? :
    => quel paradoxe ! : créer un groupe politique et partisan de ses propres privilèges pour préserver les "autres" - les 'moins égaux' - des autres
    pressions politiques et partisanes ??!!!

    voir aussi :
      des collègues égaux en droit qui font le même job, mais avec des droits (statuts) différents !  => http://www.acteurspublics.com/2014/04/11/fonctionnaires-un-statut-a-reinventer
      Belle cohérence et imparable bon sens de notre 'élite' nationale !!
      Dès lors qu'on entretient des logiques de droit différentes, comment laisser croire qu'il puisse être possible que ne se manifeste très rapidement des privilèges d'un côté ou de l'autre ?
    Qui oserait prétendre être en mesure de maintenir une égalité parfaite entre avantages et inconvénients liés à ces droits différents ? alors qu'une mesure parfaitement consensuelle et impartiale de cette égalité est par nature inconcevable !
      Ceux qui nous calculent, au centime d'euro près, l'impact du 'gel d’avancement pendant 1 an' pour un Français-fonctionnaire se contre-fichent ce faisant, malgré leurs "tous ensemble ! tous ensemble !", de l'impact à vie d'une perte d'emploi sur un Français-non-fonctionnaire !

    "Il faut être juste avant d'être généreux comme on porte des chemises avant de porter des dentelles" - Chamfort
    i e : les pauvres ont besoin d'une exigence de justice améliorée, bien avant que de songer à jamais vouloir inspirer de la pitié !

    à noter que les ressentis négatifs, qui contrarient une cohésion nationale pérenne, sont (et seront fatalement de plus en plus) inspirés par des faits, des constats, et des vécus (sur des durées significatives), bien plus que par des idéologies ou de la psychologie à deux balles (dont les pauvres auraient, eux, du mal à faire leur fond de commerce)


     Exceptions pour les fonctions régaliennes ?
     =>  Ce n'est pas parce qu'une argutie fausse est devenue une idée reçue que cela en fait un impératif indépassabe :
      ce sont les fonctions qui sont sont régaliennes, pas les serviteurs de ces fonctions qui n'ont pas à être incarnées ! (à moins qu'on en revienne au principe de droit divin ? )
    )

    En effet, quid des sans-contrat ?
    A moins de considérer que l'adoption du CDD-unique (pour tous, y compris dans la Fonction Publique) éradiquerait ipso facto chômage et précarité, cette solution ne cible encore qu'une proportion des Français.
    C'est en ce sens qu'en regard des préoccupations actuelles des Français (précarité, chômage, exclusion), la volonté d'égalité qui la met en scène est paresseuse.

    La nécessité, pour une cohésion sociale soutenable et démocratique, d'une égalité effective en dignité et en droit, peut-elle être restreinte à une méritocratie par le temps consacré par chacun à du 'travail' salarié ?
    (cf pistes du 'Revenu Minimum d'Existence' ...
    ou de l'ouverture aux vertus du 'idleness' tel que considéré par B. Russell )

    -----------
    (*) 'RME' inconditionnel : Qui sont ceux qui osent se permettre de parler à ce propos de 'trappe à misère' ?

    -----
    Considérons un gars DuPont ou un bon-homme DuRang
    - qui n'a pas choisi de naître en France
    - qui n'a cautionné, par un quelconque vote, ni autrement, aucun des élus au pouvoir
    - qui n'a d'ailleurs jamais eu ni l'occasion ni l'envie de cautionner le système de légitimation du pouvoir officiel en France
    - qui déplore par ailleurs, en son for intérieur, les pollutions atomique, industrielle, ou spirituelle imputables à des orientations politiques qu'il n'a jamais cautionnées
    - qui est de plus intimement persuadé que le système de pouvoir, auquel il se soumet par devoir moral autant que par nécessité, devrait impérativement être amendé;
    - et qui reste sans emploi pour des raisons indépendantes de sa volonté autant que de ses compétences

    Un tel Français serait-il moins digne que les autres ?
    Un tel Français aurait-il, dans les calculs militaires ou économiques, moins de valeur que la VVS évaluée à 5000000€ (cf : http://fr.wikipedia.org/wiki/Valeur_de_la_vie ) ?

    Un tel Français ne mériterait-il pas d'avoir quelque compensation aux contraintes qu'il estime subir d'un système de pouvoir auquel il reconnaît moins d'avantages que s'il pouvait s'en détacher (à défaut de rencontrer un contexte plus conforme à l'idéal démocratique) ?
    Un tel Français qui, entre autres par ses paiements de TVA, contribue aux efforts publics bénéficiant aux salariés, devrait-il être considéré comme redevable d'un minimum de survie qu'on lui accorderait, tandis que ceux qui ont prospéré assez longtemps grâce à un salaire suffisant considèrent comme un dû la retraite par répartition dont ils bénéficieront en plus ? ...
    Lorsqu'on souhaite une meilleure cohésion nationale, serait-il alors raisonnable de penser séduire de tels Français à la cause d'un système sourd à l'ouverture que constituerait une meilleure autonomie de pensée de tout un chacun, et qui ne leur témoigne qu'une attente mécanique de conformations stériles sans espoir de retour ?

    -----------

    "Live simply, so others may simply live" - Gandhi

    Encore une fois, il ne s'agit pas ici de défendre une conviction personnelle, mais seulement de mettre en lumière l'aspect abusif de positions de pouvoir :
    - trop peu remises en question (par la paresse d'une habituation de confort fautive)
    - et abusivement exploitées.

    Imaginons que demain, les 20% de nos élites en tous genre (artistiques, scientifiques, économiques et politiques) se persuadent que le transhumanisme va dans le 'sens de l'Histoire'.
    Imaginons que, au contraire, pour ce qu'ils en connaissent peu ou prou, les autres Français soient plutôt réfractaires à toute proposition de se faire greffer une puce sous la peau, ou de voir automatiquement cartographier son génome dès la naissance ... mais se désintéressent de tout débats concernant le transhumanisme. (Ce qui compte c'est de bien voter pour éliminer le dernier Président foireux qu'on a élu à tort ... et pour éviter la prise de pouvoir par l'abomifreux candidat de service côté repoussoir).
    Comme on en a maintenant l'habitude, notre légitimation officielle donnerait (laisserait) très probablement le pouvoir aux 20% de 'méritants' de notre 'excellence' nationale (parce qu'ils seraient les plus 'compétents' ou 'efficaces' à court ou moyen terme).
    On verrait alors ces 20%, sous prétexte de faire le bien du peuple malgré lui, mettre en place le mécanisme pernicieux suivant :
    - dans un premier temps : adoption officielle d'une puce sous la peau normalisée pour tous les candidats à l'embauche (y compris fonctionnariat)
    - dans un 2° temps: les rétrogrades qui refusent la puce, n'ayant pas accès aux infrastructures publiques réservées aux abonnés à puce greffée, sont de plus en plus considérés comme 'désadaptés';
    - puis : ces rétrogrades ne trouvent plus de job
    - ensuite : ces rétrogrades n'ont pas assez d'années de travail pour obtenir la rente de retraite accordée aux 'travailleurs'. (Tant pis pour eux s'ils sont incapables ou/et jaloux )
    - en enfin : en seulement une ou deux générations, les rétrogrades n'ayant plus ni les moyens économiques, ni la reconnaissance de leurs compatriotes pour faire des enfants puis les élever, disparaissent purement et simplement du paysage Français.
    Faute de contradicteurs, le règne du transhumanisme est unanimement adopté, et cette fois démocratiquement établi !
    Alors : tout le monde serait content au final ?
    - Pas gagné mon Capitaine : seul le temps dira si ce transhumanisme tiendra aussi longtemps que les impôts dans l'Evolution humaine.
    Par contre, le processus aura été irréversible !
    Si, par 'malchance', un rejet de la greffe artificielle venait à ne se manifester qu'après 2 ou trois générations : tout retour aux sources sera devenu impossible, les souches de base de l'humain ayant été définitivement perdues. (En cloner de nouvelles à partir d'un matériel génétique archivé par précaution ne suffirait pas : les conditions initiales comptent au moins autant que l'automate pour remettre en branle un système à l'identique )

    « Etre dans le vent, c'est avoir le destin des feuilles mortes. »
    - Jean Guitton


    En définitive :
    la dignité du citoyen ne saurait dépendre de sa situation de conformisme au concept de 'travail' en vigueur à un instant T
    .



    Post Scriptum :
    voir aussi >> http://www.slate.fr/lien/69999/employes-performance-au-travail <<

    "«Nous voyons la stupidité fonctionnelle comme une absence de réflexion critique. C’est un état d’unité et de consensus qui fait que les employés d’une organisation évitent de questionner les décisions, les structures et les stratégies», affirment Alvesson et son collègue André Spicer dans leur article ..." :




    refus de la misère vs 'sens de l'histoire' ? - par CandyRaton le 20/10/2014 @ 15:18

    la récente journée de refus de la misère (17 octobre) est moins médiatisée que les ’gay pride’ ou démonstrations ’anti-racistes’ .
    Imaginerait-on une ’précaire pride’ ou une ’pauvre pride’ ?
    Une incitation, dans ce ’monde de brutes’ et d’hypocrisie à faire son ’coming out’ en revendiquant sa précarité, et/ou sa pauvreté, comme une fierté : une émancipation des trop habituelles attitudes de paraître et de fausseté !
    Pas besoin, sans doute, de tels artifices pour qui tiendrait à rester vrai plutôt que de prétendre à une quelconque recherche de ’La Vérité’.
    ( Pas certain que les précaires ou pauvres attendent un avantage à voir devenir passible de sanctions pénale le fait d'être désignés comme "parasites", "assistés" ou "loques" ... Ne pas contraindre les gens à se conformer à un vocabulaire hypocrite permet une détection plus rapide des relations à éviter )
    __________
    Pour envisager la misère sous un autre angle, on peut se reporter à cet article d'AgoraVox =>
    La mondialisation de la perversion narcissique – Entre guerre économique et guerre psychologique ( http://www.agoravox.fr/actualites/societe/article/la-mondialisation-de-la-perversion-158157)


    Remarque liant cet article à une question en vogue : Sens de l'Histoire ?
    avec des individus 'en avance' et d'autres 'retardataires' ?
    Considérons le point de vue suivant :

    "une société non plus seulement paranoïaque, mais perverse, où le cynisme est roi : l’ère du mensonge, où le déni sadique de l’altérité signe inéluctablement la fin de l’homme.
    ... mentalité opportuniste et compétitive aux dépens de toute santé psychique et de toute éthique démocratique"


    Et admettons que ce point de vue émane d'observateurs inclus dans cette société : regard interne
    (dans un miroir (*) - crédibilisé par quel consensus ? - conçu par des esprits qui observent la réflexion de quel éclairage ?),
    sur soi-même autant qu'autrui, qui ne soit a priori pas filtré/déformé par une quelconque idéologie.
    (*) : - "pur jeu de miroir spéculatif où Narcisse peut s’admirer jusqu’à en mourir "
    - comment mesurer le mensonge (volonté consciente et délibérée de tromper) ?
    - le paraître est indissociable des jeux de miroir de Narcisse

    On en vient alors à se demander si un 'sens de l'Histoire' tel qu'il est observé là est souhaitable : pour moi ? pour les autres ?

    - la culture d'autrefois faisait place à "la princesse de clèves" (cf actu décalée)

    - la culture d'aujourd'hui ? : « l’hédonisme de désenchantement qui consiste à profiter de la vie au maximum » [24]. i.e. : tous blasés ?


    et au boulot ? cf l'arcticle Avox :

    "La violence professionnelle est en effet d’autant plus insigne et insupportable qu’elle se déplace et se cache perfidement dans sa déshumanisation managériale, obligeant chaque travailleur à s’emmurer dans le repli agressif de sa normopathie narcissique.

    Cette « violence innocente » du déni prend ainsi la forme d’une « cruauté ordinaire », orchestrée par une multitude de « pervers envieux », qui attendent que tombe le collègue jalousé parce qu’il s’expose, pour conforter leur propre place, ainsi que l’explique Yves PRIGENT"

    ------------
    autres passages =
    -------------
    Le discours socioprofessionnel ne cesse de pratiquer ce double langage haletant, de peur et de plaisir, de pseudoliberté et de sécurité mêlés, qui m’oblige à louvoyer sans cesse, au gré des circonstances. Je suis perdu, sous tension, sujet à des écarts d’humeur, tenté par la consommation et le divertissement, mais leur inanité me renvoie toujours plus à ma solitude. Cette ambivalence est éprouvante : me voici lancé dans un manège harassant où je ne suis plus moi-même, mais parasité en permanence, comme vidé. Ce vide narcissique, c’est la normopathie du faux-soi, qui me protège tant bien que mal du burn out. Mais aujourd’hui, il n’y a pas moyen de s’arrêter, sauf en maladie – on a vu à quel prix ! La course à la performance, « la vitesse stupéfiante » à laquelle change le monde, la « réalité économique » à laquelle « on ne peut rien changer », la vie professionnelle de plus en plus précaire et son management de plus en plus pressant ne nous laissent plus le choix : il faut se faire une raison et suivre le rythme. Telle se produit « la névrose de guerre économique » (DONNET), forme contemporaine d’un « malaise dans la civilisation » auquel nous sommes tenus psychologiquement de nous soumettre.
    -----------------
    Le discours scientifique médical et psychologique, se calquant sur la propagande politique, managériale et industrielle, se vide ainsi de toute réalité : instrumentalisée par le pouvoir, la psychiatrie accrédite officiellement le projet néolibéral, de fonder une nouvelle gouvernance psychoéconomique basée sur l’égoïsme du profit et de la concurrence.
    -----------------

    le désir reste inassouvi, puisqu’il meurt dans son assouvissement. La perversion est le déni de cette impossibilité, de cette vulnérabilité fondamentale de l’être : l’objet n’est plus sainement symbolique, transitionnel, il est fétichisé, incorporé, dans l’illusion que la jouissance phallique puisse annuler la castration, et vaincre le temps[17]. Mais ce faisant, l’objet est détruit en tant qu’objet propre : la jouissance narcissique entretient un rapport singulier avec le désespoir, et la possession avec la mort. Objet chosifié de perversion sadique et/ou sexuelle, l’autre-sujet, en particulier, est possédé pour être détruit. Purement utilitaire, réduit à un objet de consommation, une simple marchandise, l’autre n’existe qu’en tant qu’il me sert, instrument de ma seule jouissance


    valeurs des calés - par Cancrela le 02/09/2014 @ 11:08

    «... et puis comme plus tard j'veux d'venir ministre
    moins je s'srai calé plus j'aurai d'valeur »
    !

    par ailleurs :

    L'éducation tue la créativité ; il faut la libérer


    __________
    juste une propagande 'communiste" ? ...

    ________

    Pourtant pas communiste La Boetie (1530-1563)
    dans son discours de la servitude volontaire :

    ______
    «Un pays ne peut prospérer longtemps en ne favorisant que les plus prospères». Barack Obama

    Mais, en France, d'aucuns se veulent sans doute plus royalistes que le roi !
    Dormons en paix, ils pensent pour nous ...


      Ou bien " chantez maintenant" (selon les conseils de la froumi à la cikrâne)


    oh la la !


    _____
    => https://soundcloud.com/gt6oqp/normaldes100dents

    Tout va très bien ... ça baigne pour moi ! - par JamesLoignon le 29/07/2014 @ 11:34

    "Tout va très bien ... "


    Ukraine ?
    c'est loin, c'est pas nos oignons !

    Palestine ?
    c'est loin, c'est pas nos oignons !

    disparition du vol MH370 de la Malaysia Airlines ?
    c'est loin, c'est une vielle histoire, c'est pas nos oignons !

    crash du MH17 de la Malaysia Airlines, le 17 juillet ?
    c'est loin, c'est pas nos oignons !

    crash du vol Air Algérie au Mali ?
    c'est loin, c'est pas nos oignons !

    noyer le poisson ?


    (ex.: qui avait fait quoi ? qui assume quoi dans les enchaînements de 'missions'
    déléguées/sous-traitées en cascade, par morceaux ponctuellement négociés ?
    super-mutants de l'informatique qui aviez accepté d'optimiser «à la main» :
    qui oserait suspecter? ...)




    affaires Tapie, Sarko ... ?
    c'est du passé, pas nos oignons !

    affaires DSK, Cahusac ... ?
    c'est du passé, pas nos oignons !

    chômage, "Moi Président", "le changement c'était maintenant", non-inversion de la cfourbe , crise économique ?
    on en a déjà bien assez parlé,
    si on lit encore ces lignes ici c'est qu'on n'a rien de plus vital à régler :
    donc, c'est pas nos oignons !

    "J'aime l'oignon"


    Non mais ! : dire qu'y en a qui n'arrêtent pas de se plaindre !

    >>>“ Au pas camarades ! Au pas, au pas, au pas ! ”

    Une seconde avant le grand champignon, gageons que les habitants d'Hiroshima vaquaient tous sereinement à leurs petites affaires, chacun dans son coin, avec toute la placidité utile requise par une philosophie de l'action inoxydable. Pourquoi les plaindre, ils n'auront même pas eu le temps d'éprouver l'angoisse ? (Belle réussite de cette philosophie de l'action ! : à respecter, non ? ) ...

    Profitons de la quiétude de nos vacances bien méritées pour relire ce grand classique de Bernard Clavel racontant un vieux vigneron, Xavier Roissard, bon travailleur, dans ce roman qui (sait-on pourquoi ?!), est titré : "Les grands malheurs" ...


    “ I want to sing / I want to shout ... ”



    ----



    Fausses rencontres ordinaires, chiens écrasés, foot ... - par CandyRaton le 05/07/2014 @ 12:43

    pas le temps !
    ( c'est vrai qu'y a le foot à regarder puis à commenter ... )

    sortir pour se croiser et pour mieux s'ignorer ...


    Ta boue cette politique que je ne saurais voir :
    "Ne me parlez pas de Grenoble" ! ...
    "Non mais ! Yen a un qui dit que chuis pas plombier ici ?" >> " target="_blank">http://www.youtube.com/watch?v=19yzHlAcpsY


    ____________

     “Préjugé, vanité, calcul, voilà ce qui gouverne le monde”
       Sébastien Chamfort



    Clématite dit (cf "hurlement votre") :
    "... les flagorneurs et les arrivistes, ceux qui sont prêts à piller le cadavre non refroidi des collègues qu'ils ont terrassés me dégoûtent..."
    ....

    "Je reste consternée de voir toutes ces personnes qui profitent d'une brèche ouverte pour se joindre à la meute et hurler avec les loups...     [ >>> cf solipsisme de groupe ...]

      Mais vous qui piétinez votre voisin, que faites-vous de concret ? ...

    Vous vous levez chaque matin et allez au turbin, ben oui comme tout le monde. ... Mais d'un point de vue collectif, votre apport à la communauté, il se situe où ?"


    Camille lui répond :
    t
    " le seul moyen d'avancer, ne serait-il pas de laisser les loups hurler et de continuer notre chemin ? "
    ____________________

     D'un côté de la Saône, on ne sait pas bien si l'on doit former des loups ou des agneaux ... de l'autre côté c'est tout de même par la rosace de l'agneau que la lumière descend et vers laquelle
    les yeux sont censés se lever ...


    Et, au carrefour de la politicaillerie et du commerce, les temps modernes se sont trouvé d'autres religions, d'autres emblèmes, d'autres célébrations ...

    pourcents européens et perles aux pouceaux - par MarjoRita le 26/05/2014 @ 14:08

    "C'est la fausseté à tous les étages.
    Ils se bouffent le foie ... et ne savent même pas ce qu'il y a dedans
    ça va finir par une intoxication généralisée"



    Mamie suit la poilitique de loin, mais ça préserve sans doute un bon sens synthétique assez vital ...

    ------
    Au vu de ces résultats électoraux ...




    abstention : 57,0 %
    FN : 25,1 %
    UMP : 20,2 %
    PS - PRG : 14,3%
    UDI -Modem : 10 %
    EELV : 9%
    Front de Gauche : 6,4%
    Debout la République : 3,9%
    Nouvelle Donne : 3%
    "Gelée et fausseté se terminent par vous crotter." - aphorisme


    ... on peut se prendre à rêver d'une approche différente des évaluations de consensus


    Chacune de ces 'brigues' peut être vue comme un agglomérat d'opinions proposées dans un pack (plus ou moins bien ficelé) à prendre en bloc ou à laisser ... sauf pour ce qui est des abstentionnistes : ultra-majoritaires !

    Mais qu'en serait-il si nous essayions d'évaluer chacune des opinions en la détachant des brigues qui se l' approprient ?

    Exemple :
    quel pourcentage de cautionnement obtieo
    Naïveté ou ironie ? - qui irait sonder chaque chef de parti pour en décider ?


      pourquoi vouloir  exprimer ses doléances ?
    Max Frisch  :  “ Pire que le bruit des bottes le silence des pantoufles ”



    1e mai 2014 : fête de l'échec du Travail ! - par FatTaf le 01/05/2014 @ 14:56

    Vouloir maquiller la décapilotade Alstom en victoire commerciale est un illusionnisme affligeant vu des coulisses

    Tout dépend du pourcentage de pas concernés béats (ou de faux-culs et complices) que compte encore notre pays ...

    " ... Et les «pauvres» apparaissent sous bien des aspects; ils apparaissent en des lieux divers et à différents moments; ils apparaissent en de nombreux cas comme un résultat de la violation de la dignité du travail humain: soit parce que les possibilités du travail humain sont limitées _ c'est la plaie du chômage _, soit parce qu'on mésestime la valeur du travail et les droits qui en proviennent, spécialement le droit au juste salaire, à la sécurité de la personne du travailleur et de sa famille."
             voir référence plus bas ...

    Que signifient les concepts de "guerre économique", de nations - ou d'Europe - face à la chimère encore plus floue de La Mondialisation ?
    "En réalité, l’économie mondialiste qu’on nous présente comme une panacée ne connaît qu’un seul critère, « l’argent ». Elle n’a qu’un seul culte, « l’argent ». Dépourvue de toute considération éthique, elle ne peut que se détruire elle-même"   <<<. cf M. Allais
    Perdre un "fleuron national de notre économie", n'est-ce que perdre une bataille ?
    Mais surtout, qui se sent vraiment concerné ? Qui fait la guerre à qui ? ...

    Plus qu'un échec économique, cette vente (à l'un ou à l'autre : là n'est pas la clé du malaise) est un échec culturel et civilisationnel :
    "Travaille,la France a besoin de toi" disait-on jadis.
    Aujourd'hui c'est l'argent fictif qui "travaille"; mais bien malin qui saura dire pour qui.

     Cette citation (limitée à une approche laïque, culturelle) pourrait-elle inciter de bonnes âmes à approfondir la réflexion ?:
    ( cf laborem exercens ) :
    "Le résultat de tout cela est que l'homme lie son identité humaine la plus profonde à l'appartenance à sa nation, et qu'il voit aussi dans son travail un moyen d'accroître le bien commun élaboré avec ses compatriotes, en se rendant compte ainsi que, par ce moyen, le travail sert à multiplier le patrimoine de toute la famille humaine, de tous les hommes vivant dans le monde."

    sans oublier cet objectif :
    " ... devoir de rappeler toujours la dignité et les droits des travailleurs, de stigmatiser les conditions dans lesquelles ils sont violés, et de contribuer pour sa part à orienter ces changements vers un authentique progrès de l'homme et de la société."

    qui s'oppose à ceci :
    " ... le système socio-politique libéral qui, selon ses principes économiques, renforçait et assurait l'initiative économique des seuls possesseurs de capitaux, mais ne se préoccupait pas suffisamment des droits du travailleur, en affirmant que le travail humain est seulement un instrument de production, et que le capital est le fondement, le facteur et le but de la production. "

      ........
    " ...  Il n'y a en effet aucun doute que le travail humain a une valeur éthique qui, sans moyen terme, reste directement liée au fait que celui qui l'exécute est une personne, un sujet conscient et libre, c'est-à-dire un sujet qui décide de lui-même."

     Tout est significatif :
     - ce qui est dit
     - par qui c'est dit
     - ce qui reste mal précisé : c'est quoi en fait le "Travail" ? !!
    ( - ok pour les "travailleurs du sexe" ? - peut-on mettre sur un même plan discursif le travail d'un maquereau, celui d'un esclave, ou celui d'un joueur professionnel (de foot, de pipeau, etc ...) ? ...
     cette réponse vous suffit-elle ? :
    " ... le fondement permettant de déterminer la valeur du travail humain n'est pas avant tout le genre de travail que l'on accomplit mais le fait que celui qui l'exécute est une personne. Les sources de la dignité du travail doivent être cherchées surtout, non pas dans sa dimension objective mais dans sa dimension subjective."  biggrin

    et en ajoutant ça ? :
    " ...  Tout ceci plaide pour l'obligation morale d'unir l'ardeur au travail comme vertu à un ordre social du travail, qui permette à l'homme de «devenir plus homme» dans le travail, et lui évite de s'y dégrader en usant ses forces physiques (ce qui est inévitable, au moins jusqu'à un certain point), et surtout en entamant la dignité et la subjectivité qui lui sont propres."

    ( plus loin encore  :
    " ... le droit à la propriété privée est subordonné à celui de l'usage commun, à la destination universelle des biens."
    ....
    On ne peut parler de socialisation que si la subjectivité de la société est assurée, c'est-à-dire si chacun, du fait de son travail, a un titre plénier à se considérer en même temps comme co-propriétaire du grand chantier de travail dans lequel il s'engage avec tous
    ....

    On doit tout faire pour que l'homme puisse conserver [...] la conscience de travailler «à son compte». Dans le cas contraire, il s'ensuit nécessairement dans tout le processus économique des dommages incalculables, dommages qui ne sont pas seulement économiques mais qui atteignent avant tout l'homme.
     )

    Pourquoi ne pas approfondir la question du partage des corvées autant que celle de la reconnaissance rétribuée de mérites à géométrie variable ?...

        Feu notre "Service militaire" obligatoire était-il un "travail" ?  Il semblerait que la proportion croissante d'exemptés autant qu'une bonne majorité d'appelés n'aient pas voulu jadis lui reconnaître l'a priori vertueux de l'appellation ... si ce n'est sous le sens étymologique ...
     Quel cas fait-on aujourd'hui de ceux qu'on a remerciés d'accomplir "leur devoir" par une solde dont le montant attirait si peu de convaincus ?
     Qui oserait formuler tout haut l'idéologie perverse qui transpire aujourd'hui par des sourires narquois : cette ex-jeunesse, 'naïvement' confiante, tout en ayant été contrainte , qui se sent trahie maintenant, n'aurait qu'à s'en prendre à elle-même si elle s'est laissée couillonner ?
    ... si bien que le passage de relai générationnel devrait lui passer par dessus la tête ? (Est-ce que le sort des petits-enfants s'en trouvera amélioré ? Est-ce que ça pourra protéger de la sénilité ?
      cf "économie sénile et barbare" :
    .... Nos écoles ou nos universités ne sont-elles plus que l'expression d'un didactisme contemplatif où le bonheur de soi répudie l'autre aux affreuses réalités de la déchéance sociale ?
    .... Trop de souffrance et d'injustice en ce pays qui est pourtant riche à souhait !

    ... Des retraites, oui mais pour qui et pourquoi ? Pour remercier grassement les petits salariés, chômeurs, rmistes qui ont peu de chance d'avoir une retraite. Ou pour remercier grassement et lâchement ceux qui dans les années à venir auront servi loyalement la high society, l'establishment et cet intelligentsia destructeurs d'humanité, cette mondialisation diabolique, cannibale et barbare ?
    )
     

    en tous cas, soulignons ce passage :
    " ... Il devient un problème particulièrement douloureux lorsque sont frappés principalement les jeunes qui, après s'être préparés par une formation culturelle, technique et professionnelle appropriée, ne réussissent pas à trouver un emploi et, avec une grande peine, voient frustrées leur volonté sincère de travailler et leur disponibilité à assumer leur propre responsabilité dans le développement économique et social de la communauté. L'obligation de prestations en faveur des chômeurs, c'est-à-dire le devoir d'assurer les subventions indispensables à la subsistance des chômeurs et de leurs familles, est un devoir qui découle du principe fondamental de l'ordre moral en ce domaine, c'est-à-dire du principe de l'usage commun des biens ou, pour s'exprimer de manière encore plus simple, du droit à la vie et à la subsistance."

    .......
    " ...Une juste rémunération du travail de l'adulte chargé de famille est celle qui sera suffisante pour fonder et faire vivre dignement sa famille et pour en assurer l'avenir."    
    !!!  ( comment concilier ça avec un risque de passage définitif  au RSA réservé aux 'audacieux'
    smile qui osent s'écarter des planques et du béni oui oui vénal ? )


    Q par-dessus tête, à qui lit nos mortelles balivernes - par AquilinoOvation le 21/04/2014 @ 20:02


    La politique tombée cul par-dessus tête, en France,
    il faut s'y plier dira le roseau pensant :
    'Tout vous est aquilon, tout me semble zéphir"

    A qui l'on pense ?
    Petits Français, courbez l'échine sous le vent des boulets qui passent :
    Sarko-mence toujours : après DSK les dés esquintés sont jetés (alea jacta est); Tapie au tapis ? Cahusac, quèsaco ? à qui l'innoOvation maintenant : Morelle ? - ah qu'il y long le chemin mortel des importants ! ...
     Le petit-joueur Aquilino n'aura eu qu'un petit quart d'heure de gloire ... mais Ah! quelle innovation ! :
    oser officialiser le mariage de l'hypocrisie et du cynisme en officialisant la rémunération, par notre "Démocratie", d'un vrai cireur de pompes !!
       Grâce à Lui, désormais, aucun Français n'a le droit d'ignorer que ses votes ne servent qu'à cautionner une poignée d'importants sans principes voués à penser à notre place et à faire vivre, (avec l'argent du con-tribuminable) de courageux cireurs de pompes !


    Faudra-t-il encore longtemps se courber pour leur cirer les pompes ... ou pour pouffer discrètement de rire à leur passage ?




    Le meilleur parti ? c'est de prendre le parti d'en rire !
    Tous et tout à l'envers, il suffit de regarder d'en bas pour bien se fendre la poire !

    envers en rêvant ?



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