Manuel Valls affiche lui aussi sa volonté d'agir sur les «inégalités importantes» entre les salariés «très protégés» en CDI et les précaires en CDD et en intérim. Vu la situation économique, les entreprises sont très réticentes au CDI. Les CDD de moins d'un mois représentaient sept embauches sur 10 au troisième trimestre, même si près de neuf salariés sur dix sont encore en CDI.
« La garantie de l'emploi dans la Fonction publique est "un moyen d'assurer aux usagers un service public rendu de manière impartiale, par des agents préservés des pressions politiques et partisanes" » => !!!
* de manière impartiale ? :voir aussi :
=> certainement pas, avec des prétendus serviteurs qui auraient besoin, pour rester honnêtes, d'être achetés par l' attribution définitive d'un droit du travail aux petits oignons rien que pour eux-mêmes ! ( Français 'plus égaux' que les autres !!)
* préservés des pressions politiques et partisanes ? :
=> quel paradoxe ! : créer un groupe politique et partisan de ses propres privilèges pour préserver les "autres" - les 'moins égaux' - des autres pressions politiques et partisanes ??!!!
Ceux qui nous calculent, au centime d'euro près, l'impact du 'gel d’avancement pendant 1 an' pour un Français-fonctionnaire se contre-fichent ce faisant, malgré leurs "tous ensemble ! tous ensemble !", de l'impact à vie d'une perte d'emploi sur un Français-non-fonctionnaire !
"Il faut être juste avant d'être généreux comme on porte des chemises avant de porter des dentelles" - Chamfort
i e : les pauvres ont besoin d'une exigence de justice améliorée, bien avant que de songer à jamais vouloir inspirer de la pitié !Exceptions pour les fonctions régaliennes ?
à noter que les ressentis négatifs, qui contrarient une cohésion nationale pérenne, sont (et seront fatalement de plus en plus) inspirés par des faits, des constats, et des vécus (sur des durées significatives), bien plus que par des idéologies ou de la psychologie à deux balles (dont les pauvres auraient, eux, du mal à faire leur fond de commerce)
(*) 'RME' inconditionnel : Qui sont ceux qui osent se permettre de parler à ce propos de 'trappe à misère' ?----------------
Considérons un gars DuPont ou un bon-homme DuRang
- qui n'a pas choisi de naître en France
- qui n'a cautionné, par un quelconque vote, ni autrement, aucun des élus au pouvoir
- qui n'a d'ailleurs jamais eu ni l'occasion ni l'envie de cautionner le système de légitimation du pouvoir officiel en France
- qui déplore par ailleurs, en son for intérieur, les pollutions atomique, industrielle, ou spirituelle imputables à des orientations politiques qu'il n'a jamais cautionnées
- qui est de plus intimement persuadé que le système de pouvoir, auquel il se soumet par devoir moral autant que par nécessité, devrait impérativement être amendé;
- et qui reste sans emploi pour des raisons indépendantes de sa volonté autant que de ses compétences
Un tel Français serait-il moins digne que les autres ?
Un tel Français aurait-il, dans les calculs militaires ou économiques, moins de valeur que la VVS évaluée à 5000000€ (cf : http://fr.wikipedia.org/wiki/Valeur_de_la_vie ) ?
Un tel Français ne mériterait-il pas d'avoir quelque compensation aux contraintes qu'il estime subir d'un système de pouvoir auquel il reconnaît moins d'avantages que s'il pouvait s'en détacher (à défaut de rencontrer un contexte plus conforme à l'idéal démocratique) ?
Un tel Français qui, entre autres par ses paiements de TVA, contribue aux efforts publics bénéficiant aux salariés, devrait-il être considéré comme redevable d'un minimum de survie qu'on lui accorderait, tandis que ceux qui ont prospéré assez longtemps grâce à un salaire suffisant considèrent comme un dû la retraite par répartition dont ils bénéficieront en plus ? ...
Lorsqu'on souhaite une meilleure cohésion nationale, serait-il alors raisonnable de penser séduire de tels Français à la cause d'un système sourd à l'ouverture que constituerait une meilleure autonomie de pensée de tout un chacun, et qui ne leur témoigne qu'une attente mécanique de conformations stériles sans espoir de retour ?
Encore une fois, il ne s'agit pas ici de défendre une conviction personnelle, mais seulement de mettre en lumière l'aspect abusif de positions de pouvoir :.
- trop peu remises en question (par la paresse d'une habituation de confort fautive)
- et abusivement exploitées.
Imaginons que demain, les 20% de nos élites en tous genre (artistiques, scientifiques, économiques et politiques) se persuadent que le transhumanisme va dans le 'sens de l'Histoire'.
Imaginons que, au contraire, pour ce qu'ils en connaissent peu ou prou, les autres Français soient plutôt réfractaires à toute proposition de se faire greffer une puce sous la peau, ou de voir automatiquement cartographier son génome dès la naissance ... mais se désintéressent de tout débats concernant le transhumanisme. (Ce qui compte c'est de bien voter pour éliminer le dernier Président foireux qu'on a élu à tort ... et pour éviter la prise de pouvoir par l'abomifreux candidat de service côté repoussoir).
Comme on en a maintenant l'habitude, notre légitimation officielle donnerait (laisserait) très probablement le pouvoir aux 20% de 'méritants' de notre 'excellence' nationale (parce qu'ils seraient les plus 'compétents' ou 'efficaces' à court ou moyen terme).
On verrait alors ces 20%, sous prétexte de faire le bien du peuple malgré lui, mettre en place le mécanisme pernicieux suivant :
- dans un premier temps : adoption officielle d'une puce sous la peau normalisée pour tous les candidats à l'embauche (y compris fonctionnariat)
- dans un 2° temps: les rétrogrades qui refusent la puce, n'ayant pas accès aux infrastructures publiques réservées aux abonnés à puce greffée, sont de plus en plus considérés comme 'désadaptés';
- puis : ces rétrogrades ne trouvent plus de job
- ensuite : ces rétrogrades n'ont pas assez d'années de travail pour obtenir la rente de retraite accordée aux 'travailleurs'. (Tant pis pour eux s'ils sont incapables ou/et jaloux )
- en enfin : en seulement une ou deux générations, les rétrogrades n'ayant plus ni les moyens économiques, ni la reconnaissance de leurs compatriotes pour faire des enfants puis les élever, disparaissent purement et simplement du paysage Français.
Faute de contradicteurs, le règne du transhumanisme est unanimement adopté, et cette fois démocratiquement établi !
Alors : tout le monde serait content au final ?
- Pas gagné mon Capitaine : seul le temps dira si ce transhumanisme tiendra aussi longtemps que les impôts dans l'Evolution humaine.
Par contre, le processus aura été irréversible !
Si, par 'malchance', un rejet de la greffe artificielle venait à ne se manifester qu'après 2 ou trois générations : tout retour aux sources sera devenu impossible, les souches de base de l'humain ayant été définitivement perdues. (En cloner de nouvelles à partir d'un matériel génétique archivé par précaution ne suffirait pas : les conditions initiales comptent au moins autant que l'automate pour remettre en branle un système à l'identique )« Etre dans le vent, c'est avoir le destin des feuilles mortes. »
- Jean Guitton
En définitive :
la dignité du citoyen ne saurait dépendre de sa situation de conformisme au concept de 'travail' en vigueur à un instant T
"«Nous voyons la stupidité fonctionnelle comme une absence de réflexion critique. C’est un état d’unité et de consensus qui fait que les employés d’une organisation évitent de questionner les décisions, les structures et les stratégies», affirment Alvesson et son collègue André Spicer dans leur article ..." :
Considérons le point de vue suivant :
"une société non plus seulement paranoïaque, mais perverse, où le cynisme est roi : l’ère du mensonge, où le déni sadique de l’altérité signe inéluctablement la fin de l’homme.
... mentalité opportuniste et compétitive aux dépens de toute santé psychique et de toute éthique démocratique"
Et admettons que ce point de vue émane d'observateurs inclus dans cette société : regard interne
(dans un miroir (*) - crédibilisé par quel consensus ? - conçu par des esprits qui observent la réflexion de quel éclairage ?),
sur soi-même autant qu'autrui, qui ne soit a priori pas filtré/déformé par une quelconque idéologie.(*) : - "pur jeu de miroir spéculatif où Narcisse peut s’admirer jusqu’à en mourir "
- comment mesurer le mensonge (volonté consciente et délibérée de tromper) ?
- le paraître est indissociable des jeux de miroir de Narcisse
On en vient alors à se demander si un 'sens de l'Histoire' tel qu'il est observé là est souhaitable : pour moi ? pour les autres ?
- la culture d'autrefois faisait place à "la princesse de clèves" (cf actu décalée)
- la culture d'aujourd'hui ? : « l’hédonisme de désenchantement qui consiste à profiter de la vie au maximum » [24]. i.e. : tous blasés ?
et au boulot ? cf l'arcticle Avox :"La violence professionnelle est en effet d’autant plus insigne et insupportable qu’elle se déplace et se cache perfidement dans sa déshumanisation managériale, obligeant chaque travailleur à s’emmurer dans le repli agressif de sa normopathie narcissique.
Cette « violence innocente » du déni prend ainsi la forme d’une « cruauté ordinaire », orchestrée par une multitude de « pervers envieux », qui attendent que tombe le collègue jalousé parce qu’il s’expose, pour conforter leur propre place, ainsi que l’explique Yves PRIGENT"------------
autres passages =
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Le discours socioprofessionnel ne cesse de pratiquer ce double langage haletant, de peur et de plaisir, de pseudoliberté et de sécurité mêlés, qui m’oblige à louvoyer sans cesse, au gré des circonstances. Je suis perdu, sous tension, sujet à des écarts d’humeur, tenté par la consommation et le divertissement, mais leur inanité me renvoie toujours plus à ma solitude. Cette ambivalence est éprouvante : me voici lancé dans un manège harassant où je ne suis plus moi-même, mais parasité en permanence, comme vidé. Ce vide narcissique, c’est la normopathie du faux-soi, qui me protège tant bien que mal du burn out. Mais aujourd’hui, il n’y a pas moyen de s’arrêter, sauf en maladie – on a vu à quel prix ! La course à la performance, « la vitesse stupéfiante » à laquelle change le monde, la « réalité économique » à laquelle « on ne peut rien changer », la vie professionnelle de plus en plus précaire et son management de plus en plus pressant ne nous laissent plus le choix : il faut se faire une raison et suivre le rythme. Telle se produit « la névrose de guerre économique » (DONNET), forme contemporaine d’un « malaise dans la civilisation » auquel nous sommes tenus psychologiquement de nous soumettre.
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Le discours scientifique médical et psychologique, se calquant sur la propagande politique, managériale et industrielle, se vide ainsi de toute réalité : instrumentalisée par le pouvoir, la psychiatrie accrédite officiellement le projet néolibéral, de fonder une nouvelle gouvernance psychoéconomique basée sur l’égoïsme du profit et de la concurrence.
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le désir reste inassouvi, puisqu’il meurt dans son assouvissement. La perversion est le déni de cette impossibilité, de cette vulnérabilité fondamentale de l’être : l’objet n’est plus sainement symbolique, transitionnel, il est fétichisé, incorporé, dans l’illusion que la jouissance phallique puisse annuler la castration, et vaincre le temps[17]. Mais ce faisant, l’objet est détruit en tant qu’objet propre : la jouissance narcissique entretient un rapport singulier avec le désespoir, et la possession avec la mort. Objet chosifié de perversion sadique et/ou sexuelle, l’autre-sujet, en particulier, est possédé pour être détruit. Purement utilitaire, réduit à un objet de consommation, une simple marchandise, l’autre n’existe qu’en tant qu’il me sert, instrument de ma seule jouissance
«... et puis comme plus tard j'veux d'venir ministre moins je s'srai calé plus j'aurai d'valeur » ! | par ailleurs : L'éducation tue la créativité ; il faut la libérer |
oh la la !
(ex.: qui avait fait quoi ? qui assume quoi dans les enchaînements de 'missions'
déléguées/sous-traitées en cascade, par morceaux ponctuellement négociés ?
super-mutants de l'informatique qui aviez accepté d'optimiser «à la main» :
qui oserait suspecter? ...)
>>>“ Au pas camarades ! Au pas, au pas, au pas ! ”
Une seconde avant le grand champignon, gageons que les habitants d'Hiroshima vaquaient tous sereinement à leurs petites affaires, chacun dans son coin, avec toute la placidité utile requise par une philosophie de l'action inoxydable. Pourquoi les plaindre, ils n'auront même pas eu le temps d'éprouver l'angoisse ? (Belle réussite de cette philosophie de l'action ! : à respecter, non ? ) ..."Je reste consternée de voir toutes ces personnes qui profitent d'une brèche ouverte pour se joindre à la meute et hurler avec les loups... [ >>> cf solipsisme de groupe ...]
Mais vous qui piétinez votre voisin, que faites-vous de concret ? ...
Vous vous levez chaque matin et allez au turbin, ben oui comme tout le monde. ... Mais d'un point de vue collectif, votre apport à la communauté, il se situe où ?"
abstention : 57,0 % FN : 25,1 % UMP : 20,2 % PS - PRG : 14,3% UDI -Modem : 10 % EELV : 9% Front de Gauche : 6,4% Debout la République : 3,9% Nouvelle Donne : 3% | "Gelée et fausseté se terminent par vous crotter." - aphorisme |
" ... Et les «pauvres» apparaissent sous bien des aspects; ils apparaissent en des lieux divers et à différents moments; ils apparaissent en de nombreux cas comme un résultat de la violation de la dignité du travail humain: soit parce que les possibilités du travail humain sont limitées _ c'est la plaie du chômage _, soit parce qu'on mésestime la valeur du travail et les droits qui en proviennent, spécialement le droit au juste salaire, à la sécurité de la personne du travailleur et de sa famille."
voir référence plus bas ...
"En réalité, l’économie mondialiste qu’on nous présente comme une panacée ne connaît qu’un seul critère, « l’argent ». Elle n’a qu’un seul culte, « l’argent ». Dépourvue de toute considération éthique, elle ne peut que se détruire elle-même" <<<. cf M. AllaisPerdre un "fleuron national de notre économie", n'est-ce que perdre une bataille ?
Cette citation (limitée à une approche laïque, culturelle) pourrait-elle inciter de bonnes âmes à approfondir la réflexion ?:
( cf laborem exercens ) :
"Le résultat de tout cela est que l'homme lie son identité humaine la plus profonde à l'appartenance à sa nation, et qu'il voit aussi dans son travail un moyen d'accroître le bien commun élaboré avec ses compatriotes, en se rendant compte ainsi que, par ce moyen, le travail sert à multiplier le patrimoine de toute la famille humaine, de tous les hommes vivant dans le monde."
sans oublier cet objectif :
" ... devoir de rappeler toujours la dignité et les droits des travailleurs, de stigmatiser les conditions dans lesquelles ils sont violés, et de contribuer pour sa part à orienter ces changements vers un authentique progrès de l'homme et de la société."
qui s'oppose à ceci :
" ... le système socio-politique libéral qui, selon ses principes économiques, renforçait et assurait l'initiative économique des seuls possesseurs de capitaux, mais ne se préoccupait pas suffisamment des droits du travailleur, en affirmant que le travail humain est seulement un instrument de production, et que le capital est le fondement, le facteur et le but de la production. "
........
" ... Il n'y a en effet aucun doute que le travail humain a une valeur éthique qui, sans moyen terme, reste directement liée au fait que celui qui l'exécute est une personne, un sujet conscient et libre, c'est-à-dire un sujet qui décide de lui-même."
Tout est significatif :
- ce qui est dit
- par qui c'est dit
- ce qui reste mal précisé : c'est quoi en fait le "Travail" ? !!( - ok pour les "travailleurs du sexe" ? - peut-on mettre sur un même plan discursif le travail d'un maquereau, celui d'un esclave, ou celui d'un joueur professionnel (de foot, de pipeau, etc ...) ? ...
cette réponse vous suffit-elle ? :" ... le fondement permettant de déterminer la valeur du travail humain n'est pas avant tout le genre de travail que l'on accomplit mais le fait que celui qui l'exécute est une personne. Les sources de la dignité du travail doivent être cherchées surtout, non pas dans sa dimension objective mais dans sa dimension subjective."
et en ajoutant ça ? :
" ... Tout ceci plaide pour l'obligation morale d'unir l'ardeur au travail comme vertu à un ordre social du travail, qui permette à l'homme de «devenir plus homme» dans le travail, et lui évite de s'y dégrader en usant ses forces physiques (ce qui est inévitable, au moins jusqu'à un certain point), et surtout en entamant la dignité et la subjectivité qui lui sont propres."
( plus loin encore :
" ... le droit à la propriété privée est subordonné à celui de l'usage commun, à la destination universelle des biens."
....
On ne peut parler de socialisation que si la subjectivité de la société est assurée, c'est-à-dire si chacun, du fait de son travail, a un titre plénier à se considérer en même temps comme co-propriétaire du grand chantier de travail dans lequel il s'engage avec tous
....
On doit tout faire pour que l'homme puisse conserver [...] la conscience de travailler «à son compte». Dans le cas contraire, il s'ensuit nécessairement dans tout le processus économique des dommages incalculables, dommages qui ne sont pas seulement économiques mais qui atteignent avant tout l'homme.
)Pourquoi ne pas approfondir la question du partage des corvées autant que celle de la reconnaissance rétribuée de mérites à géométrie variable ?...
Feu notre "Service militaire" obligatoire était-il un "travail" ? Il semblerait que la proportion croissante d'exemptés autant qu'une bonne majorité d'appelés n'aient pas voulu jadis lui reconnaître l'a priori vertueux de l'appellation ... si ce n'est sous le sens étymologique ...
Quel cas fait-on aujourd'hui de ceux qu'on a remerciés d'accomplir "leur devoir" par une solde dont le montant attirait si peu de convaincus ?
Qui oserait formuler tout haut l'idéologie perverse qui transpire aujourd'hui par des sourires narquois : cette ex-jeunesse, 'naïvement' confiante, tout en ayant été contrainte , qui se sent trahie maintenant, n'aurait qu'à s'en prendre à elle-même si elle s'est laissée couillonner ?
... si bien que le passage de relai générationnel devrait lui passer par dessus la tête ? (Est-ce que le sort des petits-enfants s'en trouvera amélioré ? Est-ce que ça pourra protéger de la sénilité ?cf "économie sénile et barbare" :)
.... Nos écoles ou nos universités ne sont-elles plus que l'expression d'un didactisme contemplatif où le bonheur de soi répudie l'autre aux affreuses réalités de la déchéance sociale ?
.... Trop de souffrance et d'injustice en ce pays qui est pourtant riche à souhait !
... Des retraites, oui mais pour qui et pourquoi ? Pour remercier grassement les petits salariés, chômeurs, rmistes qui ont peu de chance d'avoir une retraite. Ou pour remercier grassement et lâchement ceux qui dans les années à venir auront servi loyalement la high society, l'establishment et cet intelligentsia destructeurs d'humanité, cette mondialisation diabolique, cannibale et barbare ?
en tous cas, soulignons ce passage :
" ... Il devient un problème particulièrement douloureux lorsque sont frappés principalement les jeunes qui, après s'être préparés par une formation culturelle, technique et professionnelle appropriée, ne réussissent pas à trouver un emploi et, avec une grande peine, voient frustrées leur volonté sincère de travailler et leur disponibilité à assumer leur propre responsabilité dans le développement économique et social de la communauté. L'obligation de prestations en faveur des chômeurs, c'est-à-dire le devoir d'assurer les subventions indispensables à la subsistance des chômeurs et de leurs familles, est un devoir qui découle du principe fondamental de l'ordre moral en ce domaine, c'est-à-dire du principe de l'usage commun des biens ou, pour s'exprimer de manière encore plus simple, du droit à la vie et à la subsistance."
.......
" ...Une juste rémunération du travail de l'adulte chargé de famille est celle qui sera suffisante pour fonder et faire vivre dignement sa famille et pour en assurer l'avenir."
!!! ( comment concilier ça avec un risque de passage définitif au RSA réservé aux 'audacieux'qui osent s'écarter des planques et du béni oui oui vénal ? )
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