«... Dépeindre ceux qui critiquent le système comme des marginaux, des 'extrémistes' ou des personnes déconnectées de la réalité pour discréditer leurs arguments : ça on le voit régulièrement Dès qu'on critique le 'Système', ou la doxa, on est soit 'facho', soit 'complotiste', soit .. 'antisémite, homophobe' . . . »
Et dans la vie courante (comparée à la vie de jadis), en fait, si jamais s'était manifesté un "progressisme", dans quel sens serions-nous censés le percevoir ? ... lorsqu'on retrouve ces Citations du "Père Goriot" (de Honoré de Balzac) :
« Il avait vu les trois grandes expressions de la société : l'Obéissance, la Lutte et la Révolte ; (…) et il n'osait prendre parti. L'Obéissance était ennuyeuse, la Révolte impossible et la Lutte incertaine.»
...
« Je leur ai donné ma vie, elles ne me donneront pas une heure aujourd'hui! »
→ "désengagement de soignants"← cf aussi l'instant 14:25 : "et c'est comme ça que ça s'passe. Et tous les gens qui sont dans le soin voient de quoi je parle"
noté → dans cette vidéo , en 5:50 : « Donc, on ne peut avoir une vision globalement optimiste qu'en considérant que toutes les vies ne se valent pas.Mais, vous remarquerez que c'est très à la mode en ce moment. … c'est une atrophie de notre puissance d'être qui se déploie ici … »
Alors, si cette invite musicale à un 'mea culpa' tourné vers une espérance plus humble, a pu troubler mon propre ego, pourquoi attendre de la partager ? : →… vous coirez être sages … ← … mais vous n'y sèmerez que la ruine, et le deuil
un rapport de 500 pages, fruit de deux ans d'enquête, 38 dépositions ou entretiens, et 25 auditions soutient que la fuite du virus d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, est l'hypothèse "la plus plausible" pour expliquer son origine.
« Il faut bien occuper un peu l'esprit des gens pour qu'ils n'aillent pas réfléchir à ce qu'il peut quand même y avoir de noble dans les concepts d'économie de marché ou de démocratie. Non, il est urgent de transformer ces concepts en mascarades, de façon à se qu'on finisse par jeter le bébé avec l'eau du bain ... »
récréation quand poly-tiques-cailles coulent :
lu dans "Le Figaro" du 30-11-2006 page 11 :
« Recherche et marché : les réflexions du Comité éthique » [...] « La réflexion éthique a-t-elle tendance à diaboliser le marché ? - La réflexion éthique n'est ni dans la frilosité vis-à-vis du marché ni dans sa diabolisation. Elle doit en revanche pouvoir dire quelle est la marge de liberté de la recherche. Et surtout quelle doit être la lucidité du monde de la recherche dans la connaissance éventuelle de son instrumentalisation. Au fond, ces journées sont une réflexion sur une certaine naïveté collective, qui émane à la fois des chercheurs, des médias, et d'une grande partie de la société.
(suggestion d'un conseil théorique de prudence à envisager : Ne légitimer en aucune façon le financement de ce que l'on n'est pas certain de bien comprendre et maîtriser - Les experts seraient alors contraints de transmettre à la fois leurs motivations et savoir avant d'obtenir les moyens de perfectionner les nouveautés pour peu qu"elles restent ou deviennent désirées par tous par 'consentement éclairé'. - armes ... IA ... etc ... ou pire ... )
«... Dépeindre ceux qui critiquent le système comme des marginaux, des 'extrémistes' ou des personnes déconnectées de la réalité pour discréditer leurs arguments : ça on le voit régulièrement Dès qu'on critique le 'Système', ou la doxa, on est soit 'facho', soit 'complotiste', soit .. 'antisémite, homophobe' . . . »
Et dans la vie courante (comparée à la vie de jadis), en fait, si jamais s'était manifesté un "progressisme", dans quel sens serions-nous censés le percevoir ? ... lorsqu'on retrouve ces Citations du "Père Goriot" (de Honoré de Balzac) :
« Il avait vu les trois grandes expressions de la société : l'Obéissance, la Lutte et la Révolte ; (…) et il n'osait prendre parti. L'Obéissance était ennuyeuse, la Révolte impossible et la Lutte incertaine.»
...
« Je leur ai donné ma vie, elles ne me donneront pas une heure aujourd'hui! »
→ "désengagement de soignants"← cf aussi l'instant 14:25 : "et c'est comme ça que ça s'passe. Et tous les gens qui sont dans le soin voient de quoi je parle"
noté → dans cette vidéo , en 5:50 : « Donc, on ne peut avoir une vision globalement optimiste qu'en considérant que toutes les vies ne se valent pas.Mais, vous remarquerez que c'est très à la mode en ce moment. … c'est une atrophie de notre puissance d'être qui se déploie ici … »
Alors, si cette invite musicale à un 'mea culpa' tourné vers une espérance plus humble, a pu troubler mon propre ego, pourquoi attendre de la partager ? : →… vous coirez être sages … ← … mais vous n'y sèmerez que la ruine, et le deuil
un rapport de 500 pages, fruit de deux ans d'enquête, 38 dépositions ou entretiens, et 25 auditions soutient que la fuite du virus d'un laboratoire de Wuhan, en Chine, est l'hypothèse "la plus plausible" pour expliquer son origine.
« Il faut bien occuper un peu l'esprit des gens pour qu'ils n'aillent pas réfléchir à ce qu'il peut quand même y avoir de noble dans les concepts d'économie de marché ou de démocratie. Non, il est urgent de transformer ces concepts en mascarades, de façon à se qu'on finisse par jeter le bébé avec l'eau du bain ... »
récréation quand poly-tiques-cailles coulent :
lu dans "Le Figaro" du 30-11-2006 page 11 :
« Recherche et marché : les réflexions du Comité éthique » [...] « La réflexion éthique a-t-elle tendance à diaboliser le marché ? - La réflexion éthique n'est ni dans la frilosité vis-à-vis du marché ni dans sa diabolisation. Elle doit en revanche pouvoir dire quelle est la marge de liberté de la recherche. Et surtout quelle doit être la lucidité du monde de la recherche dans la connaissance éventuelle de son instrumentalisation. Au fond, ces journées sont une réflexion sur une certaine naïveté collective, qui émane à la fois des chercheurs, des médias, et d'une grande partie de la société.
(suggestion d'un conseil théorique de prudence à envisager : Ne légitimer en aucune façon le financement de ce que l'on n'est pas certain de bien comprendre et maîtriser - Les experts seraient alors contraints de transmettre à la fois leurs motivations et savoir avant d'obtenir les moyens de perfectionner les nouveautés pour peu qu"elles restent ou deviennent désirées par tous par 'consentement éclairé'. - armes ... IA ... etc ... ou pire ... )
Le qui perd gagne de France en 2024
- par HumainAnonyme
le 07/09/2024 @ 14:43
Et maintenant, comment se (com)portent les veaux-tant ?
Le prompt de notre actualité :
« Chanson dénonçant une fausse démocratie qui n'est plus qu'une coquille vide; avec une centaine de personnes au pouvoir, "responsables mais pas coupables", qui ont un mépris total du peuple et du résultat des urnes : ces "importants" monopolisent le Pouvoir depuis au moins 40 ans, et ils tournent autour des postes et des ministères comme on tourne dans un jeu de chaises musicales; c'est toujours les mêmes postures et impostures, et la même gabegie de l'argent public (dérapage du budget de l'Etat dissimulé aux Français traités de "complotistes"). Nous sommes 68 millions de citoyens , pillés, méprisés, considérés tantôt comme "pigeons", tantôt comme des "castors", et de façon systémique, ces "importants" ne nous représentent plus dans ce qu'ils avaient baptisé "démocratie représentative" (avec "vaccination obligatoire, libre et éclairée") »
La réponse proposée par l'IA :
_______
autre prompt (*), pour Bella Donn : - Comment partager nos consciences humaines
(*) : (voir les précisions à cliquer sous la vidéo par "afficher plus")
Les commentaires sous cette vidéo valent le détour. Beaucoup sont édifiants ... mais, en voici un, bien senti, assez bref pour être casé ici : "Il y a un amalgame; ce n'est pas quand les "riches" quittent un pays que le pays subit, c'est quand ils partent avec leurs capitaux, qu'ils ont essentiellement fait à l'aide de leur pays d'origine. Le vrai problème est plus d'ordre philosophique que économique: la totalité d'une somme gagnée nous appartient elle totalement ?" question perso : par une fin qui justifierait les moyens ? comment cautionner (= lapsus monstrueusement insensible et incohérent !) l'inadmissible d'un ignoble chantage nucléaire (sanctuarisation agressive) couvrant une invasion dont la barbarie concrète pourrait cesser immédiatement par seulement l'abandon du caprice d'un parrain d'oligarques ?! La facilité(*) de déléguer à un 'sauveur' éloigné, (que certains croient connaître mieux que leurs proches), les vélléités de révoltepar procuration ! auxquelles on ne veut sacrifier, ici, aucun inconfort, serait-elle cohérente ? séduisante ?
(Remarquer qu'on peut constater les propos publiés dans une vidée en restant conscient que "Le monde n'est pas tout blanc, ni tout noir", mais aussi, qu'il n'est évidemment pas plus "gris !" ... L'auditeur cérébré n'est pas un acheteur de pré-pensé qui serait "victime" d'une "vente liée" ... et, qu'il cautionne plus ou moins ou qu'il réprouve le traitement de différents sujets abordés ..., il peut remarquer l'absence de certains autres sujets brûlants. -genre : réflexions sur la question constitutionnelle ? sur les protocoles de légitimation et leur validation citoyenne? sur les moyens et possibilités de conscientisations individuelles et collectives des consciences citoyennes ?en insistant sur la souhaitable récursivité de la démarche ...)
Si vous posez la question ; "Comment faire la révolution", même la meilleure réponse rêvée ne pourra que vous dire comment (re-) tourner en rond !
Pourquoi ne pas oser (cf "sapere aude") plutôt envisager un changement de paradigme, pratique et transcendant, quant aux possibilités de mettre en oeuvre de nouvelles approches de proche en proche démocratiques ? Comme disait un inconnu : « Dieu est mort, Marx est mort, et moi-même je ne me sens pas très bien » , alors je n'aurai pas la prétention d'approfondir, seul, toute la réflexion collective nécessaire pour relever un tel défi. (En tous cas, de grâce, avant de partir "bille en tête" sur la "solution" inconséquente des "block-chain", veuillez prendre le temps de relire posément ce qui est suggéré ici, de vous l'approprier, et d'y consacrer un minimum de votre propre "sapere aude" (*))
(*) : inconfort devant l'incertitude / simplisme / masquage de complexité => dépendance devant les masqueurs et les propagandistes qui les nourrissent: Savoir surmonter l'inconfort d'une injustice(**) (souvent doublée d'injonctions plus ou moins 'non verbales') à se taire), ne doit pas être interprété comme une acceptation de cette injustice, qui ne serait alors pas (ou plus) combattue.
Ceux qui savent faire le distingo entre complexité et complication, comprendront la très profonde question ontologique des nécessités pratiques de masquage de complexité, quand ce masquage, occulté la plupart du temps, risque d'être trop mal conscientisé :
- Les expressions courtes ont de meilleures chances de trouver une audience ; mais quelle probabilité d'être bien entendues et comprises ? Le masquage de complexité du message, ne suppose-t-il pas, en ce cas, une capacité de l'audience à deviner des sous-entendus ? "Simple comme une fleur" ? - allez dire cela à un biologiste.
- Les utilisateurs de technologies numériques exigent des "interfaces" simples et intuitives. Mais la simplicité et la facilité auxquelles ils s'habituent avec du moindre effort, est nécessairement compensée quelque part par une gestion de complexité déléguée à des compétences expertes ... dont chacun risque de devenir dépendant quand on ne pense plus jamais au prudent souci de se les approprier un minimum, individuellement.
Les scrutins par bulletins en papier, c'est simple ? - et pourtant qui oserait prétendre qu'il n'y a plus jamais, aujourd'hui de "fraudes électorales". Laissera-t-on une IA inconnue s'occuper de remédier à cela, sans s'en occuper nous-même ?
- - - (**) Autre question sans réponse, plus interloquée que narquoise : comment peut-on, en même temps, s'inverstir publiquement dans des combats pour plus de justice, et se permettre, de façon non précisément circonstanciée, de relayer la musique déjà datée, d'une dénonciation de ce qui peut être perçu comme de la "victimisation" ?! (Attention aux effets de boomerang !).
Pour complémenter un peu les quelques indices de réflexions personnelles tentés ci-dessus (cf, notament, l'exode des plus aisés), voici une sentence qui a déjà traversé plus d'un siècle :
“Ce n'est le goût du luxe qui est condamnable, mais le sentiment d'y avoir droit.” - De Jean Rostand / De la vanité ; (Biologiste et écrivain français. Né à Paris le 30 Octobre 1894. Fils d'Edmond Rostand, illustre auteur de 'Cyrano de Bergerac' )
Ce qui va de pair avec: «Nul n'a droit au superflu tant que chacun n'a pas le nécessaire» -selon Anne-Cécile ROBERT
--- Et puis, quand on assume "jouer l'arlésienne", pourquoi bouder son plaisir ? :
Sauf que là, à l'instant un SCOOP MONDIAL vient d'envahir les radios et plateaux TV de toute notre planète !!
Et maintenant, comment se (com)portent les veaux-tant ?
Le prompt de notre actualité :
« Chanson dénonçant une fausse démocratie qui n'est plus qu'une coquille vide; avec une centaine de personnes au pouvoir, "responsables mais pas coupables", qui ont un mépris total du peuple et du résultat des urnes : ces "importants" monopolisent le Pouvoir depuis au moins 40 ans, et ils tournent autour des postes et des ministères comme on tourne dans un jeu de chaises musicales; c'est toujours les mêmes postures et impostures, et la même gabegie de l'argent public (dérapage du budget de l'Etat dissimulé aux Français traités de "complotistes"). Nous sommes 68 millions de citoyens , pillés, méprisés, considérés tantôt comme "pigeons", tantôt comme des "castors", et de façon systémique, ces "importants" ne nous représentent plus dans ce qu'ils avaient baptisé "démocratie représentative" (avec "vaccination obligatoire, libre et éclairée") »
La réponse proposée par l'IA :
_______
autre prompt (*), pour Bella Donn : - Comment partager nos consciences humaines
(*) : (voir les précisions à cliquer sous la vidéo par "afficher plus")
Les commentaires sous cette vidéo valent le détour. Beaucoup sont édifiants ... mais, en voici un, bien senti, assez bref pour être casé ici : "Il y a un amalgame; ce n'est pas quand les "riches" quittent un pays que le pays subit, c'est quand ils partent avec leurs capitaux, qu'ils ont essentiellement fait à l'aide de leur pays d'origine. Le vrai problème est plus d'ordre philosophique que économique: la totalité d'une somme gagnée nous appartient elle totalement ?" question perso : par une fin qui justifierait les moyens ? comment cautionner (= lapsus monstrueusement insensible et incohérent !) l'inadmissible d'un ignoble chantage nucléaire (sanctuarisation agressive) couvrant une invasion dont la barbarie concrète pourrait cesser immédiatement par seulement l'abandon du caprice d'un parrain d'oligarques ?! La facilité(*) de déléguer à un 'sauveur' éloigné, (que certains croient connaître mieux que leurs proches), les vélléités de révoltepar procuration ! auxquelles on ne veut sacrifier, ici, aucun inconfort, serait-elle cohérente ? séduisante ?
(Remarquer qu'on peut constater les propos publiés dans une vidée en restant conscient que "Le monde n'est pas tout blanc, ni tout noir", mais aussi, qu'il n'est évidemment pas plus "gris !" ... L'auditeur cérébré n'est pas un acheteur de pré-pensé qui serait "victime" d'une "vente liée" ... et, qu'il cautionne plus ou moins ou qu'il réprouve le traitement de différents sujets abordés ..., il peut remarquer l'absence de certains autres sujets brûlants. -genre : réflexions sur la question constitutionnelle ? sur les protocoles de légitimation et leur validation citoyenne? sur les moyens et possibilités de conscientisations individuelles et collectives des consciences citoyennes ?en insistant sur la souhaitable récursivité de la démarche ...)
Si vous posez la question ; "Comment faire la révolution", même la meilleure réponse rêvée ne pourra que vous dire comment (re-) tourner en rond !
Pourquoi ne pas oser (cf "sapere aude") plutôt envisager un changement de paradigme, pratique et transcendant, quant aux possibilités de mettre en oeuvre de nouvelles approches de proche en proche démocratiques ? Comme disait un inconnu : « Dieu est mort, Marx est mort, et moi-même je ne me sens pas très bien » , alors je n'aurai pas la prétention d'approfondir, seul, toute la réflexion collective nécessaire pour relever un tel défi. (En tous cas, de grâce, avant de partir "bille en tête" sur la "solution" inconséquente des "block-chain", veuillez prendre le temps de relire posément ce qui est suggéré ici, de vous l'approprier, et d'y consacrer un minimum de votre propre "sapere aude" (*))
(*) : inconfort devant l'incertitude / simplisme / masquage de complexité => dépendance devant les masqueurs et les propagandistes qui les nourrissent: Savoir surmonter l'inconfort d'une injustice(**) (souvent doublée d'injonctions plus ou moins 'non verbales') à se taire), ne doit pas être interprété comme une acceptation de cette injustice, qui ne serait alors pas (ou plus) combattue.
Ceux qui savent faire le distingo entre complexité et complication, comprendront la très profonde question ontologique des nécessités pratiques de masquage de complexité, quand ce masquage, occulté la plupart du temps, risque d'être trop mal conscientisé :
- Les expressions courtes ont de meilleures chances de trouver une audience ; mais quelle probabilité d'être bien entendues et comprises ? Le masquage de complexité du message, ne suppose-t-il pas, en ce cas, une capacité de l'audience à deviner des sous-entendus ? "Simple comme une fleur" ? - allez dire cela à un biologiste.
- Les utilisateurs de technologies numériques exigent des "interfaces" simples et intuitives. Mais la simplicité et la facilité auxquelles ils s'habituent avec du moindre effort, est nécessairement compensée quelque part par une gestion de complexité déléguée à des compétences expertes ... dont chacun risque de devenir dépendant quand on ne pense plus jamais au prudent souci de se les approprier un minimum, individuellement.
Les scrutins par bulletins en papier, c'est simple ? - et pourtant qui oserait prétendre qu'il n'y a plus jamais, aujourd'hui de "fraudes électorales". Laissera-t-on une IA inconnue s'occuper de remédier à cela, sans s'en occuper nous-même ?
- - - (**) Autre question sans réponse, plus interloquée que narquoise : comment peut-on, en même temps, s'inverstir publiquement dans des combats pour plus de justice, et se permettre, de façon non précisément circonstanciée, de relayer la musique déjà datée, d'une dénonciation de ce qui peut être perçu comme de la "victimisation" ?! (Attention aux effets de boomerang !).
Pour complémenter un peu les quelques indices de réflexions personnelles tentés ci-dessus (cf, notament, l'exode des plus aisés), voici une sentence qui a déjà traversé plus d'un siècle :
“Ce n'est le goût du luxe qui est condamnable, mais le sentiment d'y avoir droit.” - De Jean Rostand / De la vanité ; (Biologiste et écrivain français. Né à Paris le 30 Octobre 1894. Fils d'Edmond Rostand, illustre auteur de 'Cyrano de Bergerac' )
Ce qui va de pair avec: «Nul n'a droit au superflu tant que chacun n'a pas le nécessaire» -selon Anne-Cécile ROBERT
--- Et puis, quand on assume "jouer l'arlésienne", pourquoi bouder son plaisir ? :
Sauf que là, à l'instant un SCOOP MONDIAL vient d'envahir les radios et plateaux TV de toute notre planète !!
une I_A non fake avec nous sans complotisme avec espoir
- par HumainAnonyme
le 31/08/2024 @ 18:20
Expérience d'IA troublante : → Voici le prompt :
« Une chanson des agneaux en colère, sur l'hypocrisie du monde dans un duo entre une Intelligence artificielle nommée Bella Donn et l'oligarque qui fait financer fermes de serveurs et électicité en toute innocence suspecte. »
→ Voici l'oeuvre produite en réponse :
Rappel pratique, pour faire afficher dans la video les paroles écrites de ce qui y est chanté : - cliquer, en bas de la vidéo, sur l'icône en forme d'engrenage ="Paramètres" - choisir sous-titres, puis → Français
Et puis, pour ce qui est de l'actualité ... pour rester correct, et remplacer énigmatiquement des interjections grossières (comme le "Merdre !" du père Ubu) convenons de mots à nous comme → azegablor ←
« Une chanson des agneaux en colère, sur l'hypocrisie du monde dans un duo entre une Intelligence artificielle nommée Bella Donn et l'oligarque qui fait financer fermes de serveurs et électicité en toute innocence suspecte. »
→ Voici l'oeuvre produite en réponse :
Rappel pratique, pour faire afficher dans la video les paroles écrites de ce qui y est chanté : - cliquer, en bas de la vidéo, sur l'icône en forme d'engrenage ="Paramètres" - choisir sous-titres, puis → Français
Et puis, pour ce qui est de l'actualité ... pour rester correct, et remplacer énigmatiquement des interjections grossières (comme le "Merdre !" du père Ubu) convenons de mots à nous comme → azegablor ←