« Ils sont pigistes, auteurs, salariés en contrat à durée déterminée, en contrat emploi-solidarité, chercheurs indépendants, vacataires, ils travaillent au noir partiellement ou complètement ». Ils : les « intellos précaires » ... ces stagiaires sous-payés (quand ils ne travaillent pas gratis) ... ... Les précaires sont devenus indispensables à de nombreuses entreprises culturelles. Ils font les petits travaux. Parfois aussi les grands. ... Combien de temps les intellectuels accepteront-ils d’être exploités, alors que leur travail n’a rien de gratuit ? ... Si on a besoin de vous, vous avez toutes les légitimités à avancer vos besoins ». Et de lancer un appel à une prise de conscience collective, qui pourrait passer par des médiatiques « Précaire Pride » Anne et Marine Rambach, Les intellos précaires, Fayard |