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forum.gifForum - social / éducation - Sujet n°72


Sujet n°72 Histoire édifiante d'un diplomé en Sciences en Hex_agonie ...
    par AmiSiTuTombes - visiteur
le 24/08/2008 @ 19:08
Anonyme
Histoire édifiante d'un diplomé en Sciences en Hex_agonie ...

Dixit...
 ... C'est ainsi que fonctionne en France la recherche publique : elle est souvent réduite au ""cacheton"" pour des entreprises incapables de conduire en interne de telles recherches mais se voit opposer le refus au moment de faire recruter ses chercheurs ; les entreprises préfèrent payer des contrats beaucoup plus chers, mais qui évitent de faire ""entrer le ver dans le fruit"", les ""écoleux concourus"" devant rester la référence du commandement...
  [...]


Dixit...

Au total je n'ai pas à me plaindre : un de mes confrères et ami au Laboratoire a travaillé lui-aussi pour l'AÉROSPATIALE qui lui a confié un CDD de trois mois, payé sept mille francs par mois - alors qu'il est Docteur - pour faire ce que les ingénieurs du service où il officie sont incapables de faire. Ce service où comme ailleurs des polytechniciens règnent tandis que des centraliens dirigent et quelques SupAéro travaillent, vit sur l'exploitation d'un code de calcul acheté aux américains et sur lequel sont lancés des calculs en tout genre. Comme personne en interne ne sait valider les résultats ni étendre le champ du logiciel, le service en appelle à la compétence universitaire mais en CDD et pour trois francs six sous... Si le pauvre type demande la DRH pour tenter de construire un avenir on lui conseillera de ne pas se mettre dans l'embarras. Il n'a aucune chance...
... etc ... etc ...


voir ce site de Stephan Cayet

 réflexion perso :
 si vous croyez que ce "cas" est isolé, que cet auteur exagère,  j'ai sur vous un avantage : je sais que le genre de situations dont il témoignage n'est pas unique.
 La probalilité de le rencontrer est même étonnante à l'échelle d'un simple individu ... pour peu qu'il sache ouvrir les yeux et tendre l'oreille !
entre autres : (extrait d'une pétition des médaillés du CNRS)

Dixit...
... Pourtant, nous sommes inquiets. À l’heure où l’on ne nous propose plus que des financements de quelques années pour des projets très ciblés, où les formations scientifiques à l’Université se dépeuplent, où l’on ne peut souvent promettre à un brillant thésard, au terme d’un travail achevé au niveau bac + 8, que des années au SMIC, voire au RMI, à l’heure où les ITA sont menacés d’être regroupés en « pools » affectés selon les besoins aux tâches les plus urgentes, comment apprécier pleinement ces récompenses ? Le système d’enseignement et de recherche qui nous a formés est en train de péricliter. ...


  Mais il n'est pas besoin de remonter aussi "haut" que le CNRS pour apprécier ce qui se fait autour de soi, dans sa ville par exemple ...
Stephan Cayet croyait à une possible "révolution" ...
  Mais l'entropie croit inexorablement, et la révolution est peut-être déjà devenue un moyen de rééquilibrage trop simpliste. Quand nos "méritants" s'arrangent pour être toujours en retard d'une guerre, la population doit ne pas être en retard d'une Résistance !


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Réponse n°1 par gogoTrahi - visiteur
le 26/08/2008 @ 12:39
Anonyme
"La Chine m’inquiète" a été écrit par Jean-Luc Domenach (Perrin, 2008) => voir cette page ..
Dixit...
La moitié des diplômés d’universités ne trouveraient pas immédiatement un emploi, ce qui est surprenant dans une économie qui se veut dirigée. Et les meilleurs étudiants (à condition d’avoir des parents aisés) partiraient aux Etats-Unis et n’en reviendraient que dans la proportion de un sur quatre.
Dixit...
... « En Europe, la Chine exporte désormais plus que les Etats-Unis et importe moins que la Suisse. » (page 186).

perso: Moi c'est le gouvernement des Français qui m'inquiète ! Et la simitude du sort réservé chez nous aussi à ceux qui ne sont pas privilégiés. Est-ce que notre dite "démocratie" offre de meilleures perspectives à long terme à ses étudiants, à ses chômeurs, à ses déclassés ? Est-elle plus juste, avec sa fumeuse "égalité des chances" prétendue ?
La "main d'oeuvre" Française est mise en concurrence, au nom de la "loi du marché", avec les travailleurs chinois.
Au nom de la "loi du marché", on lui a appris à consommer étranger. Elle importe donc ! mais surtout à partir de pays où, par culture (pas par protectionisme), on n'aurait jamais idée de dépenser ses sous chez le concurrent.
Le nouveau monde qui s'éveille nous en sera-t-il reconnaissant ?
Dixit...
".. des Chinois qui regardent avec envie vers les Etats-Unis, avec réticence le Japon, avec indifférence le reste du monde (sauf s’il est riche en matières premières comme l’Afrique) et nous contemplent nous, Européens, avec compassion !"

Qu'espèrent donc nos dirigeants ? La gloire d'avoir suscité cette compassion ? Un statut privilégié chez les nouveaux maîtres du monde ? ...


Nos énarques ne s'abaissent pas à considérer le travail de nos chercheurs du CNRS quand ils publient : "Les désordres au travail / Enquête sur le nouveau productivisme" ... Par contre ils affectent d'être tout ouïe à la lecture d'un "New Deal" rédigé par ces spécialistes de l'entreprise que représentent une "trentaine de professeurs d'université et de grandes écoles" : l'association du "Cercle de l'Entreprise.
On retiendra de la réponse du secrétaire d'Etat aux Affaires Européennes cet engagement salvateur : le renforcement de la mobilité ... des jeunes ... des chercheurs ... !

( C'est vrai que que pour s'expatrier, afin de se mettre définitivement à l'abri de nos fonctionnaires et policitiens professionnels, il vaut mieux avoir appris à être "mobiles" ! )


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Réponse n°2 par AmiSiTuTombes - visiteur
le 16/09/2008 @ 13:49
AmiSiTuTombes

Dixit...
"... Mon état de chômeur en milieu bourgeois me vaut quelques commentaires cinglants de la parts de ces cadres dynamiques que j'abhorre de plus en plus. [...] Curieurement, les diplômés de ces écoles qui ne vous forment pas mais vous assurent un avenir même si vous êtes le dernier des derniers, sont souvent incapables d'avancer le moindre argument, ni de participer à la plus élémentaire discussion contradictoire.
Non, eux savent parce qu'ils ONT une place dans le système. Et moi qui SUIS, je n'AI rien donc je ne peux pas savoir.
C'est confondant de bêtise, et c'est devenu odieux.
...


citation de : "Le 13 septembre 1999, la Seconde Révolution française", par Stephan Cayet (page 46) imprimé par IMPRIM'AD HOC pour le compte de l'auteur
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Réponse n°3 par JackUse - visiteur
le 17/09/2008 @ 10:26
JackUse
"C'est politique" : motif de refus de candidature, en France !
Quand un employeur, fut-il prix Nobel, se permet d'écarter un candidat par ces seuls mots, (sans daigner les étayer par une quelconque justification), le seul souvenir qu'il peut laisser dans la France profonde est celui d'un goujat !
Les petits Français ont une autre éducation, une autre conception de la plus élémentaire des politesses.
Depuis quand est-il devenu licite, en France, de catégoriser les gens à partir de leurs opinions politiques supposées, afin de les écarter de l'emploi ? Si ce comportement ne peut pas être dénoncé pour être sévèrement sanctionné, peut-on encore parler de la France et de ses valeurs ?
( On ose espérer que le qualificatif ambigu de "politique" ne puisse jamais déguiser de sournois sous-entendus non laïques, voire certaine catégorisation pseudo-religieuse ! )
Il est des situations où jouer sur les mots constitue une faute définitivement impardonnable.

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Réponse n°4 par poudreDescampette - visiteur
le 18/09/2008 @ 12:04
poudreDescampette
piqure de culture sociale ( Lyon a encore du chemin à faire dans ce sens pour prétendre au label de capitale culturelle de l'Europe ! cry( ) :
les SSII ont misé sur les
artifices classiques de communication ...
 
Dixit...
... Pendant longtemps, les SSII ont misé sur les artifices classiques de communication pour attirer les chalands : sites, plaquettes, stands et slogans alléchants vantant leur respect des valeurs humaines (hum), leurs perspectives de carrière (taux de turnover ?) ou leur excellence technologique (celle de qui au juste ?).
Sans oublier bien sur les beaux discours stéréotypés (et pour cause) de nos assistant(e)s de recrutement...


 informaticiens, voir cette page du MUNCI à lire impérativement pendant la pause café ...
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Réponse n°5 par AmiSiTuTombes - visiteur
le 19/09/2008 @ 19:36
AmiSiTuTombes
"La seule solution, c'est la participation" ?

  L'idée est a priori séduisante ...
   Pourtant, lorsqu'on participe à l'élaboration d'un bien ou d'un service commun, les élites éclairées (spécialistes de "l'analyse de la valeur" par exemple) nous ont appris qu'il n'était pas recommandé de partir d'une "solution".

Le "cercle Pep"' nous propose son "Partage équitable du progrès" .

Dixit...
«  S’il n’y avait pas des Patrons et des Actionnaires qui prennent les risques de créer et d’apporter de l’argent,…. il n’y aurait pas d'Entreprise !  »

nous dit-il entre autres  ...

 C'est bien sympathique et me semble plutôt sincère dans l'ensemble. Il n'en reste pas moins que l'arbitrage de ce partage, (et des valeurs implicites permettant d'évaluer ce partage) est étroitement lié à la nécessité d'un pouvoir.
Je reste convaincu que le premier impératif pour éviter le désordre, créé par les injustices, réside dans le degré de démocratie réelle avec laquelle ce pouvoir est exercé ...
  Quand la participation pécuniaire est évaluée et calculée par les spécialistes de l'argent, y a-t-il "égalité" du pouvoir d'appréciation et de contrôle pour des salariés spécialisés dans tout autre chose ? Eux qui en sont réduits à devoir faire confiance quasi aveuglément. ( Rappelons le taux ridicule de syndicalisation rencontré "dans le privé" en France ...).
 Les "risques" financiers, pécuniaires, pris par les "Patrons et les Actionnaires" peuvent-il être comparés aux risques physiques, aux risques d'investissements en (auto-)formation (avec une capacité de prospective personnelle structurellement dérisoire), aux risques relationnels, affectifs de la mobilité ... pris par les salariés ? Cette deuxième catégorie de risques est-elle traduisible en monnaie sonnante ... et trébuchante ?

 La "solution" envisagée est donc bonne à prendre ... dans la mesure ou règnerait une confiance absolue ...
 sinon elle risquerait de se transformer rapidement en un leurre supplémentaire.

rappelons ces mots de Stephan Cayet dans "Le 13 sept. 1999, la seconde Révolution française", page 32 :
 
Dixit...
... Par ailleurs, les salariés ne voient qu'une partie du jeu syndical sans apprécier toute la relation qui existe entre patrons et délégués syndicaux. ... [...]
  Le syndicat a ainsi des choses sérieuses à discuter avec le patron. Comme dit le proverbe "entre gens moyennement honnêtes, on arrive toujours à s'entendre".
 Il faut réfléchir à la mutation du syndicalisme et à son remplacement par un autre mécanisme, démocratique, plus transparent et moins coûteux pour la collectivité. Je propose une piste. ...



 S. C. n'est certainement pas le seul à proposer des pistes que les "gens sérieux" ne daignent pas seulement entendre.
( par combien faudrait-il multiplier le record jamais atteint en France du nombre de pétitionnaires pour qu'une demande du peuple soit considérée comme légitime dans un "Référendum d'Initiative Citoyenne" ? )
 Par contre on lui a demandé de suivre la voie royale ( sans qu'il n'ait jamais pu en débattre démocratiquement) sous peine d'être abandonné sur le bord de la route ...
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Réponse n°6 par AmiSiTuTombes - visiteur
le 01/10/2008 @ 12:41
AmiSiTuTombes

Dixit...
Pourquoi en est-on arrivé là, sinon parce qu'on a rêvé , ou plutôt parce que notre ploutocratie a dormi ?
... page 121 :
... le machinisme au début du siècle, puis plus récemment la robotique et l'automation, ont conduit à augmenter la capacité à produire sans le recours à l'homme dans de telle proportions que cet homme est devenu superflu aujourd'hui. ... Aujourd'hui c'est le progrès technique qui fait régresser l'Homme, au contraire de ce qu'a été toute l'histoire industrielle depuis cent cinquante ans.
...
... Quand nous fonctionnons sur une règle devenue totalement inefficace, c'est au coeur même de la société que le changement doit être mené : réinventer un nouveau lien entre l'Homme et l'Argent. Nous sommes devant une exigence de réforme qui n'a rien à voir avec 1848, mais avec 1789, ce dont tout le monde a peur.
....
... Puisque le fait fondateur de la naissance d'une entreprise est la mise en commun de moyens financiers par une ou plusieurs personnes, quoi de plus naturel que l'objet de cette mise en commun soit l'augmentation de la masse initialement disponible, simplement par effet d'appel. Le seul dispositif de remise à plat que nous avons expérimenté s'appelle la guerre . ... il faudra bien trouver d'autres moyens de régulation, car si nous n'en trouvons pas, nous aurons la guerre civile. Je ne crois pas que ce soit ce que nous puissions souhaiter, ni les uns ni les autres.
Une autre cause encore, relève du détournement de ces richesses vers les marchés financiers où il y a plus de profits à faire avec moins d'ennuis et moins de délais. Ce détournement est la responsabilité directe des actionnaires, grands racketteurs devant l'éternel, mais aussi de la société qui les laisse faire, et les applaudit. ..
Ces deux causes sont responsables des mêmes effets : elles entraînent vers d'autres activités que l'industrie ou le commerce des masses croissantes d'argent, qui ne se retrouvant pas dans le circuit général, ne repassent ni entre les mains des salariés, ni dans les caisses du plus grand nombre des PME condamnées à la faillite à plus ou moins court terme.
... le problème de la délocalisation de la production vers les pays à très faible coût de main d'oeuvre ...Le fait est révélateur de l'état d'esprit de nos décideurs, prêts à tout, même à alimenter notre chômage. ..



ceci n'est qu'une citation de "Le 13 septembre 1999, la Seconde Révolution française" de Stephan Cayet.
Je le considère comme un visionnaire ?
Pas du tout ! Je veux simplement montrer que ceux que l'on considère et traite comme de parfaits quidams sans intérêt ont souvent une perception de la réalité plus pertinente que ceux qui prétendent nous ouvrir les yeux, nous donner des leçons et nous diriger.
( Pas question pour moi de jouer l'Anti-capitalisme pour chercher à faire allégeance à un autre cercle de copinages.
Il vaut mieux être "out" d'une ploutocratie encore identifiable que de réseaux sournoisement dissous dans la masse ... ça reste plus lisible ) tongue
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Réponse n°7 par FouFangDhui - visiteur
le 02/10/2008 @ 10:54
FouFangDhui
Un «fou», Fang Qinghui ?

Dixit...
...


Dixit...
En attendant, les Chinois risquent de voir beaucoup d'autres «fous» exprimer violemment leur frustration sociale.



voir :  Une «bombe humaine» contre la corruption en Chine

En France, On ne risque rien, l'administration est là pour débusquer toute vélléité de subversion chez les RMIstes ! ...
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Réponse n°8 par AmiSiTuTombes - visiteur
le 07/10/2008 @ 12:03
AmiSiTuTombes
la Seconde Révolution française ... n'a pas eu lieu
re-rappels :

Dixit...
page 122 :
" Il n'y a donc pas d'autre solution que de sortir de la civilisation du travail

tongue
Dixit...
, pour entrer dans celle de la richesse plus librement distribuée, ..

cool

Dixit...
[...] .. les participants à la production ne doivent plus être autorisés à se partager seuls le produit de cette richesse...
 ... cette population produisante doit être tournante pour permettre au plus grand nombre de jouer aussi avec le frisson de l'entreprise comme au temps de grand-papa, maintenant à durée déterminée. Nous acceptons bien que les mandats politiques soient beaucoup moins nombreux que les candidats potentiels ..."

page 123 :
"... Cette solution maintiendrait l'activité par la consommation et replacerait au premier plan l'exigence de la formation continue en reléguant au rang d'oripeau féodal notre culte actuel de la formation initiale et définitive, ce "diplôme" fièrement brandi ... Une vie profesionnelle s'organiserait ainsi par tranches, les périodes d'activité interrompues permettant de se recycler totalement par le biais de l'université, désormais en prise directe avec la vie active, ce dont elle est encore loin. Nous assumerions une succession de contrats, les uns à la production, qui nous conduiraient à une plus forte rémunération, les autres en formation, relevant de l'investissement personnel avec un petit sacrifice financier, les derniers à l'entraide, c'est-à-dire voués à l'élévation de l'Homme."


Dixit...
page 139 :
... Ainsi, une carrière serait une succession de contrats à durée déterminée, de 3 à 6 ans par exemple, entre lesquels chaque personne se retrouverait face à elle-même pendant des durées plus courtes, d'1 à 3 ans toujours pour l'exemple, et qu'elle occuperait à se former intellectuellement, à former technniquement d'autres personnes, à élever des enfants, à réaliser des projets, à se lancer dans la création d'une entreprise.
Pendant ces périodes d'interruption, elle continuerait à percevoir son salaire social, majoré pour cause de chômage.
....


 Reste à disserter entre autres sur ce concept de "production" ... !   Mais ne faut-il pas d'abord laisser avancer les idées ... (en se préoccupant pragmatiquement, avant tout, des outils de la "démocratie" : vaste programme aussi ... )
 Tous nos politiques sont à court d'idées, devant l'échec collectif que représente l'actuelle crise financière... mais qui est dépassé ? qui a les idées courtes ? quand la discussion autant que les idées sont hautainement dédaignés



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