- je verrais bien un 'Bezancenot', mais qui ne soit pas fonctionnaire-à-vie, et encore moins trotte-ce-kyste ...
( dans son bouquin "le divorce français", François de Closets a montré le poids stratégique primordial de la personnalité des chefs d'Etat / ce tempérament personnel, en contrepartie, ne doit-il pas être tempéré par une mesure constante de la 'volonté générale' des citoyens ? )

- un parlement qui ne soit pas parle-ment,
et qui ait notamment les moyens de contrôler l'efficatité de la dépense publique
( notre Bezancenot-chimère devrait-il avoir plus de temps de parole devant le parlement ou l'inverse ? ... )

- un Kouchner qui sache faire valoir l'enjeu hautement stratégique, à long terme, de défendre l'honneur des Français attachés aux droits de l'Homme ?

- un Hirsch qui arrive à permettre à ceux qui sont snobés de mettre en oeuvre leurs compétences et leurs bonne volontés pour que les plus pauvres puissent avoir, matériellement, la possibilité d'être soutenus ...

- ...

Voilà, ce n'est qu'un début de questionnement ...
ce qui n'empêche pas de se demander si, même avec un casting idéal, le scénario tiendrait la route avec notre "démocratie-représentative" actuelle.
Peut-on s'attendre à ce qu'un système puisse de lui-même bricoler et replâtrer un peu ses propres structures si, par hasard, elles avaient un vice de conception ?

Les Français feront-ils un jour vraiment l'effort de se rappeler ce qu'est l'idéal de démocratie ?