<<< : voir Le Figaro du 26/09/2008
Alors, quelle solution pour les salariés qui vont découvrir la mobilité version "en charette" ?
S'adapter aux petits boulots sans qualification requise pour 'travailler plus' ?
On ne peut pas plaindre ceux qui surchargeaient les fonctions ressources humaines (quelle compétences peuvent-ils revendiquer au juste ?) :
ils se réciteront à eux-mêmes les formules de choc qu'ils savaient si bien servir à tous les candidats qu'ils ont toisés ...
Mais les autres ? Vont-il finir par disputer l'abri, sous les ponts, à leurs anciens collègues qu'ils avaient dénigrés et ignorés ?
- - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - - -
page 8 :




C'est bien connu, (en tout cas notre Président l'a rappelé) seuls les banquiers et quelques patrons voyous (ceux qui jouent avec des parachutes dorés) sont à recadrer.
 Les Entrepreneurs, eux (genres patrons de SSIIs )  sont vertueux ... puisqu'après avoir délocalisé entreprises et emplois à l'étranger, après avoir mis aux rencart des générations de 'séniors' (dès l'âge de 38 ans en informatique), ils ont l'amabilité de réclamer ces mesures publiques anti-racistes !
 Double avantage pour eux :
1°) ça fera les pieds aux Ressources Humaines autochtones qui ont encore des prétentions salariales
2°) ça freinera le développement technologique des "pays tiers" en les dépeuplant de leur meilleur potentiel humain ...