Gouvernants,
on vous a à l'œil !
(réflexions d'un citoyen ordinaire)




PROJETS

Nota Bene :  ce texte n'est plus tout à faite récent ... Un indice ? - "... France d'en bas ..."      ;-)

La France semble avoir un problème moral vis à vis du travail. La réflexion se fait à partir de critères matériels qui aliènent les réalités sociales, morales, et responsables.


Nous avons un Premier Ministre qui semble connaître l’entreprise « de l’intérieur».

Nous comptons sur son expérience pour remettre de l’ordre entre la volonté affichée et l’exécutif : c’est à dire entre l’annonce et la réalisation.

Vu d’en bas, l’image de l’entreprise est brouillée par les séquelles de manœuvres difficiles et parfois peu délicates, qui laissent des traces. Les responsables y perdent leur aura, et la vérité, pour beaucoup, devient mensonge. Le secret passe très vite dans le « non dit », dont la valeur augmente, sans provoquer la réflexion commune, partagée, et responsable.

Les comptes rendus du travail mettent en évidence des hiérarchies de compétences, des expertises, des résultats matériels : toutes choses comptables . Les constats établissent la gestion des disparités.

En l’absence de participation collective il est difficile de lutter contre le laxisme et l’opportunisme ambiants. Les recours au juridique et au médical sont les seules réponses à des situations que personne ne veut reconnaître alors qu’elles déstabilisent ceux qui les vivent, dans la solitude et l’incompréhension.


Un projet commun est l’affaire de tous. La coordination devient la clé de la compréhension collective et participative grâce à l’échange et la concertation. De plus, la science vient à l’aide de la mémoire et de la réflexion, bien que ses outils soient des prothèses à intégrer ! Cette adaptation exige aussi un maximum de réciprocité active. Comment ignorer cette informatique dérangeante qui donne à comprendre au monde entier : pour le meilleur et pour le pire …

L’élaboration des diplômes, créés au gré des besoins, ne peut se concevoir sans l’estimation des aptitudes et des niveaux requis, physiques et intellectuels, à partir de l’expérience des exécutants.


Il n’est plus réservé à la France d’en bas de savoir combien il est difficile de mener une action sans le soutien de compétences avisées, de plus en plus rares…Beaucoup de prévisions et de projets ne trouvent pas leur aboutissement. Les plus démunis doivent faire l’apprentissage d’une multitude de ‘bureaux’ sensés apporter l’information recherchée, mais complètement ignorants des sujets qu’ils traitent, et tristement indifférents à leurs incompétences.

La formation n’est qu’un commencement. En matières d’emploi et de compétences, le critère final est l’expérience : acquise, assimilée et révélant des bases abstraites, qui ne peuvent appréhendées sans une honnête pratique.


Cette conception du travail ne relève-t’elle pas de l’éducation civique et de la culture ?






RUSE ? !!



Le chômage a multiplié les procès qui ont épuisé une justice complètement dépassée.

Les contrats de travail sont remis sur le chantier. Personne n’est sûr d’avoir compris où se situaient les difficultés.

Dans une France qui a protégé ses fonctionnaires au point d’en faire des permanents de l’état, il est difficile d’anticiper entre les changements rapides, fugaces, permanents, opportunistes…

Le contrat de travail, pour satisfaire le demandeur et le receveur, a du mal à gérer les antagonismes et la réciprocité.

Dans de nombreux domaines les connaissances, pratiques ou ciblées, exigent des mises à jour constantes, mais loin de l’improvisation irréfléchie : les contrats sont des engagements réciproques et codifiés en vue d’objectifs et de résultats communs.


Dans ce contexte, le contrat ne peut être à sens unique : pour ne pas abuser de la justice.

Une certaine médiatisation invite le citoyen ordinaire à « apprendre la ruse pour libérer son moi ».

Les anciens maîtres de la psychiatrie parlaient de nos trois ennemis communs et invitaient chacun à reconnaître le (ou les siens) entre orgueil, jalousie et égoïsme. La ruse maligne est contre - performante pour la justice et les justiciables.


Il serait difficile de faire une société, ni individualiste, ni communautaire sans apprentissage de la liberté, indissociable de la responsabilité.








DIALOGUE ? !!!


La culture et le travail sont les points clés de la formation du citoyen. Ces domaines ne peuvent être absents de nos réflexions, pas plus que leur retentissement général. Les dernières élections ont démontré à quel point se situe le désarroi, dans l’ignorance de la réalité quotidienne, et la solitude de certains. Les générations futures ne sont pas équipées, moralement, pour supporter les aléa de politiques indéterminées. Il est regrettable que la politique politicienne ait conduit au désaveu de l’ouverture apportée par la présence des médecins et des inspecteurs du travail.

En favorisant le dialogue syndical, le débat, dans le « privé», permettait d’établir une cartographie du monde du travail qui fait défaut aujourd’hui.

Dans le domaine de la culture, nous voudrions pouvoir compter sur l’éducation pour mettre en place des pédagogies correspondant à l’avenir changeant qui s’annonce. L’action individuelle devient inopérante, sans l’appui d’une équipe coordonnée dans l’action collective.


Les grandes écoles tissent la toile de fond des réseaux relationnels. Que fait-on pour les isolés qui ne peuvent s’offrir ni la maladie, ni la justice, dans un monde qui se déshumanise ?

On constate à quel point la solitude établit les égoïsmes, les repliements…qui n’impliquent pas de culpabilité, a priori.

Notre société complexe invente des relais uniquement administratifs, sans réciprocité humaine.

Le travail est perçu comme une contrainte rémunératrice, moins attrayante que le loto.

Le résultat, contrôlable, est un manque d’efficacité plus onéreux que la multiplication de postes incontrôlables.


Les syndicats, dans le privé, ont disparus dans l’indifférence générale.
L’éducation, l’A.N.P.E., apparaissent comme des monopoles d'État détenant la réflexion collective concernant le travail, la justice, la pauvreté… Seraient-ils les mieux placés pour en parler ? Quelles sont leurs analyses sur ce sujet ? Les décisions se fondent sur un syndicalisme sans « syndiqués » !












 On a constitué le règne de l’isolement !!


L’ A.N.P.E. est un mécanisme de gestion de l’emploi dans lequel les plus expérimentés n’ont aucune place. Malgré la prolifération des « Bureaux de Relations Humaines » les questions pratiques et concrètes ne trouvent pas de réponse. Faute de compétence, ces bureaux deviennent des « censures » pénalisantes et démobilisatrices. Mais qui pourrait analyser les résultats de cette machine incontrôlable ?

Les générations futures ne sont pas équipées pour supporter les difficultés aléatoires qui perturbent le laxisme ambiant. Les plus sages, dits naïfs, perdent la confiance, quand les plus hardis osent tout ! La République doit revendiquer ses droits et ses devoirs en les intégrant dans une instruction civique un peu oubliée. Tout comme la politesse,matière ‘ringarde’, est à remettre à sa place dans le système éducatif auquel elle appartient.


IL faut transmettre à nos dirigeants l’urgence de cette approche !

Avant de parler d’individualisme français, quand sommes nous consultés sur les besoins et les objectifs qui nous concernent ? il nous serait facile de faire comprendre que leurs finalités passent par des équipes de travail, sans renoncer à l’individu ! Dans la complexité, pouvoir, savoir, notoriété…doivent se conjuguer ; dans la mondialisation pressante, il faudra bien partager le nécessaire , pour éviter le pire.












DIALOGUE ? !!!


La culture et le travail sont les points clés de la formation du citoyen. Ces domaines ne peuvent être absents de nos réflexions, pas plus que leur retentissement général. Les dernières élections ont démontré à quel point se situe le désarroi, dans l’ignorance de la réalité quotidienne, et la solitude de certains. Les générations futures ne sont pas équipées, moralement, pour supporter les aléa de politiques indéterminées. Il est regrettable que la politique politicienne ait conduit au désaveu de l’ouverture apportée par la présence des médecins et des inspecteurs du travail.

En favorisant le dialogue syndical, le débat, dans le « privé», permettait d’établir une cartographie du monde du travail qui fait défaut aujourd’hui.

Dans le domaine de la culture, nous voudrions pouvoir compter sur l’éducation pour mettre en place des pédagogies correspondant à l’avenir changeant qui s’annonce. L’action individuelle devient inopérante, sans l’appui d’une équipe coordonnée dans l’action collective.


Les grandes écoles tissent la toile de fond des réseaux relationnels. Que fait-on pour les isolés qui ne peuvent s’offrir ni la maladie, ni la justice, dans un monde qui se déshumanise ?

On constate à quel point la solitude établit les égoïsmes, les repliements…qui n’impliquent pas de culpabilité, a priori.

Notre société complexe invente des relais uniquement administratifs, sans réciprocité humaine.

Le travail est perçu comme une contrainte rémunératrice, moins attrayante que le loto.

Le résultat, contrôlable, est un manque d’efficacité plus onéreux que la multiplication de postes incontrôlables.


Les syndicats, dans le privé, ont disparus dans l’indifférence générale.
L’éducation, l’A.N.P.E., apparaissent comme des monopoles d'État détenant la réflexion collective concernant le travail, la justice, la pauvreté… Seraient-ils les mieux placés pour en parler ? Quelles sont leurs analyses sur ce sujet ? Les décisions se fondent sur un syndicalisme sans « syndiqués » !












 On a constitué le règne de l’isolement !!


L’ A.N.P.E. est un mécanisme de gestion de l’emploi dans lequel les plus expérimentés n’ont aucune place. Malgré la prolifération des « Bureaux de Relations Humaines » les questions pratiques et concrètes ne trouvent pas de réponse. Faute de compétence, ces bureaux deviennent des « censures » pénalisantes et démobilisatrices. Mais qui pourrait analyser les résultats de cette machine incontrôlable ?

Les générations futures ne sont pas équipées pour supporter les difficultés aléatoires qui perturbent le laxisme ambiant. Les plus sages, dits naïfs, perdent la confiance, quand les plus hardis osent tout ! La République doit revendiquer ses droits et ses devoirs en les intégrant dans une instruction civique un peu oubliée. Tout comme la politesse,matière ‘ringarde’, est à remettre à sa place dans le système éducatif auquel elle appartient.


IL faut transmettre à nos dirigeants l’urgence de cette approche !

Avant de parler d’individualisme français, quand sommes nous consultés sur les besoins et les objectifs qui nous concernent ? il nous serait facile de faire comprendre que leurs finalités passent par des équipes de travail, sans renoncer à l’individu ! Dans la complexité, pouvoir, savoir, notoriété…doivent se conjuguer ; dans la mondialisation pressante, il faudra bien partager le nécessaire , pour éviter le pire.